Agnès Buzyn souligne le caractère inadmissible de ces menaces destinées, d’après le communiqué du SYNGOF, à se « faire entendre », et qui vont à l’encontre du respect inconditionnel du droit à l’IVG garanti dans notre pays. La ministre regrette également l’image faussée des médecins gynécologues obstétriciens de France que renvoient ces nouvelles déclarations inacceptables de la part d’un syndicat qui entend les représenter.
Consciente du sujet de préoccupation qui motive cette prise de parole, la ministre Agnès Buzyn indique qu’il ne pourra être traité efficacement que dans la sérénité nécessaire et l’esprit de responsabilité de chacun.
La ministre insiste sur le fait qu’en aucun cas une telle prise en otage des femmes ne peut servir de levier de négociation ou de médiatisation de ce dossier que le ministère suit de très près.
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