Bulletin OfficielDirection de l'action sociale
Sous-direction du travail social
et des institutions sociales
Bureau TS2

Circulaire  DAS/TS 2 n° 97-826 du 29 décembre 1997 relative
à la campagne budgétaire 1998 des centres d'aide par le travail

AS 1 15
167

NOR : MESA9730684C

(Texte non paru au Journal officiel)

Références :
Circulaire DAS/TS 2 n° 96-757 du 19 décembre 1996 relative à la campagne budgétaire 1996 des CAT ;
Projet de loi de finances pour 1998.

La ministre de l'emploi et de la solidarité à Madame et Messieurs les préfets de région (direction régionale des affaires sanitaires et sociales) ; Mesdames et Messieurs les préfets de département (direction départementale des affaires sanitaires et sociales) En 1998, la gestion des enveloppes de financement des CAT confirmera la politique déjà engagée qui tend à rééquilibrer géographiquement les moyens consacrés à l'accueil des travailleurs handicapés en établissements, et à augmenter les capacités de manière à répondre aux insuffisances révélées par l'application de l'article 22 de loi du 13 janvier 1989 (amendement « Creton »).
Mais l'action des services doit aussi continuer de prendre en considération la finalité globale des établissements.

I. - LA GESTION DES DOTATIONS DE CRÉDITS
1.1. Eléments de bilan de la campagne budgétaire 1997

La campagne budgétaire 1997 s'est employée à rééquilibrer les financements accordés aux régions pour le fonctionnement des CAT, en fonction de l'écart entre les coûts à la place régionaux et nationaux. Par la suite, à l'exception d'une région, toutes les DRASS ont procédé à leur tour à une allocation différenciée des ressources entre les départements. Ainsi, les dotations départementales initiales ont connu une actualisation allant de 0 % à 3,47 %. Nous devons poursuivre en 1998 dans la voie du rééquilibrage.
Pour autant, certains départements ont appelé mon attention sur leur difficulté à honorer les coûts salariaux des établissements, au moment même où leur région utilise une partie des crédits de reconduction des moyens pour créer des places nouvelles.
Ce type de situation suscite deux remarques :
a) D'une part, la création de places nouvelles doit se faire dans le respect des choix du Parlement qui a voté chaque année des crédits nouveaux pour les extensions de capacités. Ces extensions provoquent à la fois des coûts directs pour le fonctionnement des centres et des coûts indirects sur les crédits qui garantissent les ressources des travailleurs handicapés.
Malgré la régularisation exceptionnelle en juillet 1997, le nombre de places nouvelles effectivement ouvertes ne doit donc pas être supérieur à celui qui a été déterminé par le Parlement, et il ne doit pas y avoir lieu à création de places nouvelles utilisant les crédits de reconductions des moyens.
En revanche, il peut se faire que l'ouverture de places nouvelles ne nécessite que des crédits supplémentaires faibles ou marginaux, notamment lorsqu'elle résulte d'extensions simples de la capacité de centres existants. Dans cette hypothèse, ces places doivent être comptabilisées dans la dotation de places nouvelles notifiée par l'administration centrale. Elles dégageront des crédits disponibles qui seront affectés prioritairement à l'exécution des décisions de justice pour les établissements déjà ouverts, puis le cas échéant à l'accompagnement temporaire des centres les plus en difficulté ou les plus onéreux.
Si certaines régions constatent qu'elles pourraient ouvrir un nombre de places nouvelles à coût minime, supérieur aux dotations de places qui leur sont notifiées, elles voudront bien faire savoir avant le 1er juin 1998, à la direction de l'action sociale, sous-direction TSIS, bureau TS2, leur nombre et leur coût, de manière que la préparation de la prochaine loi de finances tienne compte de ces projets et arbitre à bon escient le nombre de places à ouvrir l'année future et les crédits - directs et indirects - nécessaires.
b) Certaines DDASS ont encore des difficultés pour financer quelques centres d'aide par le travail, notamment en raison de leur masse salariale. Ces difficultés doivent d'abord susciter une lecture attentive des tableaux de bord pour savoir s'il s'agit d'établissements dont le coût diffère notablement de celui des autres établissements similaires et en connaître les motifs.
Dans la première hypothèse les conditions mêmes du fonctionnement de l'établissement devront sans doute être renégociées de manière qu'à terme, les financements publics soient justement proportionnés aux besoins des personnes handicapées. Il n'est pas exclu que la période de restructuration nécessite encore quelques financements supplémentaires provisoires, et les DDASS feront connaître aux DRASS la durée et le niveau de l'effort à envisager.
Dans la seconde hypothèse, des centres peu onéreux peinent à assurer leur équilibre financier. Ils devront être pris en considération de manière privilégiée. Pour ce faire, les DDASS feront valoir auprès des DRASS, ces situations qui appellent un effort rapide d'apurement des dettes, puis le cas échéant et progressivement l'assistance matérielle qu'impliquerait l'amélioration qualitative des prestations fournies.

1.2. La gestion de la reconduction des moyens

a) Les facteurs de progression des coûts des établissements.
Globalement la progression de la masse salariale des établissements ne devrait pas dépasser 0,90 % compte tenu d'un ratio de dépenses de personnel de 70 %.
L'effet report de la mesure générale de 1997 est évaluée à 0,46 % de la masse salariale. A ce propos, je vous rappelle que la délégation aux DDASS des crédits de reconduction 1997 comprenait une provision pour la revalorisation de la valeur du point prévue pour l'année 1997 à hauteur de 0,54 % de masse salariale. Cette provision correspondait à une augmentation de la valeur du point de 0,5 % en niveau au 1er mars et de 0,5 % en niveau au 1er octobre pour l'année 1997. L'effet report de 0,46 % représente donc l'incidence en année pleine de cette mesure salariale.
Le GVT solde est normé à 0,80 % de la masse salariale.
Dans l'hypothèse où le gouvernement déciderait en cours d'année une augmentation générale des rémunérations, des dotations spécifiques seraient notifiées et déléguées à ce moment.
b) Les modalités et la procédure de répartition des moyens.
La progression 1998 des dotations régionales de reconduction de moyens a été modulée à partir du coût moyen régional acquis. Les taux d'actualisation s'étagent donc de 1,30 % à 0,60 % autour d'une progression moyenne de 0,94 %. Le tableau figurant en annexe I notifie sur ce fondement le montant des dotations régionales initiales 1998.
Les préfets de région feront connaître à la direction de l'action sociale, bureau TS2, pour le 1er février 1998 la répartition départementale de ces dotations régionales. Cette répartition départementale des crédits s'inscrit toujours dans un objectif de rééquilibrage au vu notamment des disparités de moyens existants entre les départements de la région. L'analyse collective à ce moment de la structure des coûts des CAT à partir des outils de gestion mis à votre disposition tel le tableau de bord est donc essentielle et doit guider l'allocation des ressources. A ce titre, je vous rappelle que chaque région dispose d'ores et déjà des données régionales du tableau de bord relatives à trois exercices comptables 1994, 1995 et 1996. Le calendrier figurant en annexe V donne les étapes qui devront être respectées pour 1998.
Dans l'immédiat, une dotation représentant 25 % des crédits reconductibles alloués en 1997 sera déléguée directement aux départements afin de leur permettre d'effectuer les premiers versements mensuels aux établissements. Le solde de la reconduction des moyens 1998 sera délégué aux préfets de départements au cours du premier trimestre selon la répartition déterminée par le préfet de région.
Par ailleurs, les crédits sans emploi doivent être remontés à la direction de l'action sociale, bureau TS2, avant le 1er septembre de chaque année. Ils doivent au préalable avoir fait l'objet d'une discussion au sein de la région visant à proposer une redistribution des crédits au bénéfice des autres départements si nécessaire. Pour votre information, 2,3 MF ont pu être ainsi redistribués en 1997, mais parfois dans des conditions d'urgence qui ont fait craindre des pertes de crédits.
Enfin, en ce qui concerne le suivi financier des contentieux relatifs aux CAT, il vous est demandé de compléter soigneusement la fiche figurant en annexe II. Je vous rappelle que ce suivi des contentieux ne vous exonère en rien de l'obligation d'exécuter les décisions des juges du tarif et de rechercher les financements correspondants dans le cadre des dotations régionales et départementales qui vous sont notifiées.

1.3. La gestion des mesures nouvelles de création de places

Le projet de loi de finances prévoit pour 1998 la création de 2 000 places supplémentaires de centres d'aide par le travail.
Les dotations régionales de places notifiées en annexe IV ont été déterminées à partir de trois critères :

La gestion régionale des crédits alloués au titre des mesures nouvelles de création de places contribuera aussi à l'harmonisation des moyens destinés au fonctionnement des CAT. C'est pourquoi il vous est préconisé de moduler le forfait régional qui vous est alloué pour tenir compte des possibilités de redéploiements au sein des dotations départementales concernées, des caractéristiques et de la nature des projets retenus.
Avant le 15 février 1998, les préfets de région feront connaître pour chaque département de leur région, à la direction de l'action sociale, bureau TS2, à l'aide du tableau personnalisé qui vous sera transmis par messagerie, le nombre de places et le montant des crédits correspondant.
Si la répartition nationale des places nouvelles entre les régions a été partiellement guidée par les disparités de taux d'équipement et l'inégal dynamisme des centres pour faire évoluer les travailleurs handicapés qu'ils accueillent selon le critère sus-mentionné, les services déconcentrés devront pour leur part veiller avant tout à ce que l'intégralité des places nouvelles soit consacrée à l'accueil des jeunes majeurs maintenus en établissements de l'éducation spéciale au-delà de la limite d'âge.
Les enquêtes périodiques sur le nombre de ces jeunes majeurs, comparées aux dotations de places nouvelles de CAT, font en effet apparaître qu'une partie de ces places n'a pas servi l'objectif prioritaire du ministre.
Il importe donc cette année que tous les efforts, des services de l'Etat et des établissements, se concentrent sur la réduction du nombre de ces jeunes adultes, de manière que les jeunes mineurs puissent bénéficier, dans les établissements de l'éducation spéciale, de conditions d'accueil et de traitement corrects.

II. - APPRÉCIATION DES CAPACITÉS D'UN CAT
A REMPLIR SA DOUBLE MISSION SOCIALE ET ÉCONOMIQUE

Au moment du renouvellement des conventions et selon les termes de la circulaire 60 AS du 8 décembre 1978, l'importance des concours financiers consentis par la collectivité aux CAT et la nature de ces structures où les dimensions sociales et économiques sont étroitement imbriquées, justifient que le contrôle qui s'exerce ne se borne pas à un examen comptable et financier des dépenses donnant lieu à dotation globale de financement. L'action des services du préfet doit viser aussi l'appréciation des capacités des centres à remplir leur double mission sociale et économique et par conséquent leur viabilité économique.
Ainsi les DDASS doivent vérifier notamment la situation d'ensemble de l'activité commerciale et les répercussions sur les travailleurs handicapés.
En réponse aux interrogations de certaines DDASS, les résultats commerciaux doivent servir d'une part la pérennité de l'activité, d'autre part l'intérêt des personnes handicapées. Ils sont donc logiquement imputés en totalité ou en partie :

Dans le cadre de ce contrôle général, deux points particuliers doivent appeler votre attention : la rémunération des travailleurs handicapés et la distorsion de concurrence qui pourrait porter préjudice aux entreprises commerciales.

2.1. La rémunération des travailleurs handicapés

Vous êtes le garant de l'intérêt des travailleurs handicapés non seulement en terme de qualité de la prise en charge mais également en terme de rémunération directe. A ce titre j'appelle votre attention sur les données issues du tableau de bord. En effet, alors que la valeur ajoutée moyenne des CAT tend à croître, la rémunération moyenne des travailleurs handicapés s'établissait à 13,16 % du SMIC en 1994 mais 12,45 % seulement en 1995 ; en outre, en 1995 près de 38 % des travailleurs handicapés percevaient une rémunération inférieure à 10 % du SMIC. Ces pratiques ont pour effet de ne pas reconnaître l'effort accompli par les travailleurs handicapés.
Par ailleurs, je vous rappelle que les associations signataires du protocole sur les ressources des travailleurs handicapés du 8 novembre 1988 se fixaient comme objectif d'oeuvrer pour qu'en 1993 le montant moyen du salaire direct versé à tous les travailleurs handicapés de CAT atteigne 15 % du SMIC, notamment en faisant porter l'effort sur les salaires inférieurs à ce montant.
Pour 1998, je vous demande donc de procéder à une analyse particulière des rémunérations versées aux travailleurs handicapés par les CAT et de chercher à connaître les motifs exacts des rémunérations faibles.

2.2. Les problèmes de distorsion de concurrence

Ainsi que le précise la circulaire 60 AS précitée « les fonds publics ne doivent en aucun cas être utilisés pour pratiquer une politique commerciale qui représenterait une concurrence illégitime pour d'autres producteurs, pour des donneurs d'ouvrage ou pour des acheteurs ».
Or, l'attention du ministre chargé des affaires sociales a été appelée à plusieurs reprises par des parlementaires sur le fait que les avantages perçus par les CAT sont sources de distorsion de concurrence au préjudice des entreprises commerciales.
Aussi, afin de prévenir toute pratique contestable et dangereuse à terme pour l'existence des établissements, il vous appartient de mettre en garde les gestionnaires de CAT sur les conséquences d'un prix de vente de produit et de prestation de service ou de sous-traitance inférieur aux prix généralement admis sur le marché, et notamment sur le risque encouru d'une saisine des services de la concurrence et de la consommation par une entreprise commerciale qui s'estimerait lésée dans le cadre notamment d'appel d'offre mélangeant les entreprises commerciales et les CAT.
En conclusion, cette campagne tarifaire doit, comme les années précédentes, être l'occasion d'une prospective financière dans les conditions fixées par le décret du 24 mars 1988 modifié, mais aussi d'une appréciation d'ensemble, partagée, sur la vie de chaque établissement.
Vous avez ainsi, depuis 1994, renégocié les conventions prévues à l'article 3 du décret du 31 décembre 1977 modifié ; il est désormais opportun de préparer aujourd'hui leur évaluation et d'aborder le constat des réalisations par rapport aux objectifs fixés.
Le directeur de l'action sociale,

P. Gauthier
ANNEXE I
Actualisation des dotations régionales 1998 cat

DÉPARTEMENTS ET RÉGIONSPLACES
fin 1997
RECONDUCTION
notifiée fin 1997
COÛT
à la place 1997
MONTANT
actualisation
DOTATION
98 initiale
TAUX
d'évolution
167Bas-Rhin1 37275 660 18655 146
168Haut-Rhin1 13162 963 38055 671
1 Alsace2 503138 623 56655 3831 789 817140 413 3831,29
224Dordogne73050 685 01869 432
233Gironde1 877122 994 03865 527
240Landes53129 747 90656 022
247Lot-et-Garonne44230 252 66868 445
264Pyrénées-Atlantiques1 25779 484 31763 233
2 Aquitaine4 837313 163 94764 7432 958 723316 122 6700,94
33Allier54133 227 09561 418
315Cantal32421 900 31467 594
343Haute-Loire40825 426 22562 319
363Puy-de-Dôme1 14473 936 71864 630
3 Auvergne2 417154 490 35263 9181 497 531155 987 8830,97
421Côte-d'Or93859 706 40363 653
458Nièvre41524 104 60958 083
471Saône-et-Loire77348 340 72462 537
489Yonne47632 101 33467 440
4 Bourgogne2 602164 253 07063 1261 632 394165 885 4640,99
522Côtes-d'Armor88158 411 15366 301
529Finistère1 543103 275 00466 931
535Ille-et-Vilaine1 58299 452 73662 865
556Morbihan99256 993 07957 453
5 Bretagne4 998318 131 97263 6523 109 633321 241 6050,98
618Cher44630 602 25968 615
628Eure-et-Loir51534 054 86266 126
636Indre38724 913 49964 376
637Indre-et-Loire1 14966 802 56158 140
641Loir-et-Cher35422 640 28563 956
645Loiret87056 534 60864 982
6 Centre3 721235 548 07463 3022 327 897237 875 9710,99
78Ardennes58939 422 39766 931
710Aube43228 642 50566 302
751Marne96861 201 35663 225
752Haute-Marne35222 341 63963 471
7 Champagne-Ardenne2 341151 607 89764 7621 431 545153 039 4420,94
820ACorse-du-Sud1409 693 99869 243
820BHaute-Corse18312 090 61766 069
8 Corse32321 784 61567 445189 66121 974 2760,87
925Doubs72244 824 08662 083
939Jura46628 556 04561 279
970Haute-Saône32820 167 97361 488
990Territoire de Belfort26016 392 23363 047
9 Franche-Comté1 776109 940 33761 9031 136 195111 076 5321,03
1075Paris1 715115 828 55467 539
1077Seine-et-Marne1 10370 546 88063 959
1078Yvelines1 48494 978 59864 002
1091Essone94666 908 87170 728
1092Hauts-de-Seine1 45195 548 11465 850
1093Seine-Saint-Denis1 36994 591 85569 096
1094Val-de-Marne1 64896 853 43958 770
1095Val-d'Oise1 10779 456 93471 777
10 Ile-de-France10 823714 713 24566 0376 490 639721 203 8840,91
1111Aude93461 846 70666 217
1130Gard86457 256 35566 269
1134Hérault1 10768 193 48361 602
1148Lozère52933 239 61662 835
1166Pyrénées-Orientales55236 094 09065 388
11 Languedoc-Roussillon3 986256 630 25064 3832 451 832259 082 0820,96
1219Corrèze65243 785 75567 156
1223Creuse34221 857 84063 912
1287Haute-Vienne63540 104 24763 156
12 Limousin1 629105 747 84264 916993 790106 741 6320,94
1354Meurthe-et-Moselle1 42583 201 93258 387
1355Meuse34924 629 58770 572
1357Moselle1 894127 117 15267 116
1388Vosges62740 985 35065 367
13 Lorraine4 295275 934 02164 2452 647 555278 581 5760,96
149Ariège31621 157 32266 954
1412Aveyron49130 067 40561 237
1431Haute-Garonne1 442109 605 41976 009
1432Gers31521 284 69467 570
1446Lot31420 105 30764 030
1465Hautes-Pyrénées56044 237 03778 995
1481Tarn67645 178 44466 832
1482Tarn-et-Garonne29719 778 45766 594
14 Midi-Pyrénées4 411311 414 08570 5992 474 342313 888 4270,79
1559Nord4 614326 985 47670 868
1562Pas-de-Calais3 051210 094 90968 861
15 Nord - Pas-de-Calais7 665537 080 38570 0694 332 205541 412 5900,81
1614Calvados1 29973 882 96256 877
1650Manche1 01753 071 47552 184
1661Orne74041 970 12556 716
16 Basse-Normandie3 056168 924 56255 2762 189 464171 114 0261,30
1727Eure78352 275 22866 763
1776Seine-Maritime1 47592 518 82662 725
17 Haute-Normandie2 258144 794 05464 1251 394 508146 188 5620,96
1844Loire-Atlantique1 511101 280 24767 029
1849Maine-et-Loire98262 038 64263 176
1853Mayenne64839 913 27861 595
1872Sarthe87459 767 29368 384
1885Vendée90855 056 50260 635
18 Pays de la Loire4 923318 055 96264 6063 017 728321 073 6900,95
192Aisne1 07166 434 51362 030
1960Oise1 22778 766 82964 195
1980Somme1 04168 344 76565 653
19 Picardie3 339213 546 10763 9552 067 593215 613 7000,97
2016Charente57031 820 38955 825
2017Charente-Maritime68845 023 88365 442
2079Deux-Sèvres69145 754 83366 215
2086Vienne81456 085 62068 901
20 Poitou-Charentes2 763178 684 72564 6711 691 992180 376 7170,95
214Alpes-de-Haute-Provence23116 516 92271 502
215Hautes-Alpes24415 391 01663 078
216Alpes-Maritimes1 14877 352 17667 380
2113Bouches-du-Rhône2 251151 429 26267 272
2183Var80654 681 21567 843
2184Vaucluse60741 179 55467 841
21 PACA5 287356 550 14567 4393 104 716359 654 8610,87
221Ain72944 378 58260 876
227Ardèche49731 080 77062 537
2226Drôme82554 766 85466 384
2238Isère1 580112 933 50571 477
2242Loire1 12870 094 26762 140
2269Rhône2 232145 279 54365 089
2273Savoie74045 831 37561 934
2274Haute-Savoie89049 883 66656 049
22 Rhône-Alpes8 621554 248 56264 2915 310 491559 559 0530,96
France métropolitaine88 5745 743 867 77564 848
2396Guadeloupe26718 028 96667 524156 59418 185 5600,87
2397Martinique27822 584 15581 238135 52222 719 6770,60
2398Guyane704 904 73870 06839 5644 944 3020,81
2399Réunion34320 935 73061 037222 54821 158 2781,06
Outre-mer95866 453 58969 367
France entière89 5325 810 321 36464 89754 794 4795 865 115 8430,94
ANNEXEII

Département :
Personne chargée du dossier :
Téléphone :

FICHE DE SUIVI FINANCIER DES CONTENTIEUX CAT

ETABLISSEMENTSCONTENTIEUX DÉFINITIVEMENT JUGÉSCONTENTIEUX EN INSTANCE DE JUGEMENT
Exercice
budgétaire
concerné
Dates des décisions
de justice
Montant
restant dû au
1er janvier 1998
Exercice
budgétaire
concerné
Montant
demandé
par l'association
gestionnaire (1)
Etat de la procédure
En
première
instance
En appel
En
première
instance
En appel
Total
(1) Par montant demandé par le gestionnaire, il faut entendre le différentiel de DGF demandé au juge du tarif par le gestionnaire.
N-B. - Les services doivent veiller à éviter un double paiement des contentieux : si le montant du litige a été financé totalement par la reprise de résultat dans l'année N + 2, il n'a pas lieu d'être ensuite repayé et ne doit pas figurer dans la colonne « montant restant dû ».
Document à retourner à la direction de l'action sociale, bureau TS 2, Mmes Beaux et Kiss, avant le 31 mars 1998.

ANNEXEIII

Département :
Personne chargée du dossier :
Téléphone :

BILAN DES PLACES NOUVELLES DE CAT NOTIFIÉES A VOTRE DÉPARTEMENT EN 1997

NOM
de l'établissement
NOMBRE
de places
ORGANISMES
gestionnaires
NATURE DE L'OPÉRATIONNOMBRE
de
CRETON
sur dotation
1997
DATE
d'ouverture
Notifiées
Intallées
(1)
Extension
Création
Déficiences des
personnes accueillies (2)
Innovation
Total
(1) Veuillez préciser, s'il y a lieu, le nombre de places installées à temps partiel.
(2) Retard mental - léger, moyen, profond - traumatisé crânien - déficiences graves de la communication, autres déficiences du psychisme.
Document à retourner à la direction de l'action sociale, bureau TS 2, Mmes Beaux et Kiss, avant le 31 mars 1998.

ANNEXEIV
DOTATIONS RÉGIONALES DE PLACES NOUVELLES CAT - 1998

RÉGIONSPOPULATION
20-59 ans
(INSEE
1er janvier 1996)
NOMBRE
de places
fin 1997
TAUX
d'équi-
pement
fin 1997
NOMBRE
de places
nouvelles 1998
TAUX
d'équi-
pement
1998
théorique
COÛT
forfaitaire
par place
DOTATION
régionale
en francs/
12 mois
DOTATION
régionale
1998/
9 mois
Réunion341 1003300,97341,0770 0002 380 0001 785 000
Guyane73 570831,1301,1367 50000
Guadeloupe222 2302671,2181,2867 5001 515 000911 250
Martinique208 2002781,3471,3760 000420 000315 000
10 Ile-de-France6 385 72110 8231,695911,7970 00041 370 00031 027 500
21 P.A.C.A.2 366 7075 2872,231822,3165 00011 830 0008 872 500
08 Corse138 6103232,33102,4065 000650 000487 500
17 Haute-Normandie956 0502 2582,36602,4267 5004 050 0003 037 500
01 Alsace930 8342 5032,69742,7767 5004 995 0003 746 250
22 Rhône-Alpes3 045 8668 6212,831532,8867 50010 327 5007 745 625
06 Centre1 289 5843 7212,89882,9567 5005 940 0004 455 000
18 Pays-de-la-Loire1 647 6624 9232,991163,0667 5007 830 0005 872 500
09 Franche-Comté588 6041 7763,02353,0867 5002 362 5001 771 875
04 Bourgogne839 7562 6023,1343,1467 5002 295 0001 721 250
02 Aquitaine1 526 8524 8373,17603,2167 5004 050 0003 037 500
07 Champagne-Ardenne715 5052 3413,27273,3167 5001 822 5001 366 875
14 Midi-Pyrénées1 320 5214 4113,34263,3655 0001 430 0001 072 500
20 Poitou-Charentes827 2742 7633,34253,3767 5001 687 5001 265 625
05 Bretagne1 493 0374 9983,35503,3865 0003 250 0002 437 500
19 Picardie993 0573 3393,36303,3967 5002 025 0001 518 750
11 Langedoc-Roussillon1 167 9533 9863,41203,4367 5001 350 0001 012 500
03 Auvergne693 4612 4173,49203,5167 5001 350 0001 012 500
13 Lorraine1 223 8524 2953,51703,5767 5004 725 0003 543 750
15 Nord - Pas-de-Calais2 062 4967 6653,72353,7355 0001 925 0001 443 750
16 Basse-Normandie734 8883 0564,16254,1967 5001 687 5001 265 625
12 Limousin362 3481 6294,5104,5267 500675 000506 250
France entière32 155 73889 5322,781 8002,84121 642 50091 231 875

ANNEXE V
CALENDRIER DES PROCÉDURES DE L'APPLICATION TABLEAU DE BORD

Du 30 avril au 30 juin 1998 :

  • envoi des questionnaires par la DDASS aux établissements puis retour avec les comptes administratifs 1997.

    Du 30 juin au 20 octobre 1998 :

    Du 20 octobre au 15 novembre 1998 :

    Du 15 novembre au 15 décembre 1998 :