AS 1 15 914 |
NOR : MESA0030074C
(Texte non paru au Journal officiel)
Références :
Loi de financement de la sécurité sociale pour l'année 2000 ;
Circulaire DAS n° 99-125 du 1er mars 1999 ;
Circulaire MARTHE/DSS/DAS/DH n° 99-398 du 7 juillet 1999 relative à l'évaluation de la consommation de soins des résidents en établissements ;
Circulaire MARTHE/DAS/DH/DSS n° 99-578 du 14 octobre 1999 relative aux principales mesures à prendre au titre de la campagne budgétaire de l'exercice 2000 applicable aux établissements hébergeant des personnes âgées dépendantes et à diverses autres dispositions concernant ces établissements ;
Arrêté du 13 janvier 2000 pris en application de l'article 27-5 de la loi n° 75-535 du 30 juin 1975 fixant pour l'année 2000 l'objectif des dépenses d'assurance maladie et le montant total des dépenses sociales et médico-sociales encadrées pour les établissements et services sociaux et médico-sociaux publics et privés ;
Arrêté du 17 février 2000 pris en application de l'article 27-5 de la loi n° 75-535 du 30 juin 1975, fixant les dotations régionales de dépenses des établissements et services médico-sociaux publics et privés pour l'année 2000.
La ministre de l'emploi et de la solidarité et la secrétaire d'Etat à la santé et à l'action sociale à Madame et Messieurs les préfets de région (directions régionales des affaires sanitaires et sociales [pour mise en oeuvre]) ; Mesdames et Messieurs les préfets de département (directions départementales des affaires sanitaires et sociales (pour mise en oeuvre) ; Mesdames et Messieurs les directeurs des agences régionales d'hospitalisation (pour information)
L'évolution de l'objectif sectoriel pour les dépenses des établissements médico-sociaux est fixé pour l'année 2000 à + 4,94 %, au moment où l'objectif national des dépenses d'assurance maladie pour l'année 2000 est fixé à hauteur de + 2,5 %. Elle traduit la priorité accordée par le gouvernement à la prise en charge des personnes handicapées et des personnes âgées.
Cette progression exceptionnelle des financements est d'abord affectée à l'extension des capacités d'accueil, au développement des prises en charge et à la mise en oeuvre de la réforme de la tarification des établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (I).
Le fonctionnement courant des établissements (II) déjà ouverts sera assuré, et permettra la mise en oeuvre en 2000 de la réduction du temps de travail dans les établissements privés (III) tout en maintenant la qualité des prises en charge.
La priorité renforcée accordée au secteur médico-social en 2000 oblige à une grande rigueur dans la gestion des dotations, afin d'en respecter les objectifs. La réforme des outils de suivi des dotations doit y aider sans perturber le fonctionnement des services déconcentrés ni celui des établissements (IV).
1. Le renforcement et la poursuite des programmes sectoriels
1.1. La réponse accrue aux besoins des personnes handicapées mobilisera
au total 470 MF soit + 1,47 % de l'enveloppe correspondante
1.1.1. Le plan pluriannuel de création de places nouvelles en faveur des personnes adultes handicapées est poursuivi : la circulaire n° 99-469 du 10 août 1999, assortie du dossier technique d'aide à la répartition départementale des dotations régionales, a rappelé les motifs et les objectifs de ce plan, puis en a exposé les différentes phases et les modalités de gestion. Les crédits annoncés pour l'année 2000 - 270 MF dont 40 MF de crédits redéployés - sont aujourd'hui effectivement dégagés et notifiés dans l'annexe 1, en année pleine.
En outre, le complément de crédits nécessaire au financement intégral des places imparties au titre de l'année 1999 - 152 MF - est également notifié ci-après : les moyens sont donc mis à la disposition des services pour que l'engagement des nouveaux programmes ne souffre pas des délais qui ont été initialement nécessaires à la constitution des perspectives régionales et départementales. Les places nouvelles d'accueil dont l'ouverture était prévue en contrepartie pourront ouvrir dans des délais rapides.
1.1.2. Une attention supplémentaire est manifestée en faveur de certains publics particuliers par la mise en place en 2000 de dotations nationales spécifiques dont les modalités de gestion sont précisées en annexe 1 :
Il convient de souligner ici que l'effort affecté au développement des places de SESSAD s'inscrit dans le cadre de la mise en oeuvre des 20 mesures gouvernementales pour améliorer la scolarisation des enfants et adolescents handicapés. A cet égard, votre attention est appelée sur la mesure n° 9 qui prévoit qu'une réunion annuelle du CROSS doit être organisée en lien avec le rectorat, pour faire régulièrement le bilan régional sur la scolarisation des jeunes handicapés à partir des travaux départementaux des groupes « Handiscol' ».
1.2. L'accueil en établissement et le soutien à domicile des personnes âgées restent une préoccupation majeure du gouvernement : 540 MF sont dégagés hors effet en année pleine des mesures 1999, soit une progression de 3,36 % de l'enveloppe correspondante, pour poursuivre dans le cadre de la mise en oeuvre progressive de la réforme de la tarification, la médicalisation programmée des établissements, pour développer le nombre de places de soutien à domicile et pour impulser la création d'un véritable réseau de coordination gérontologique couvrant le territoire national.
1.2.1. Le complément en année pleine, des crédits de 1999 pour la création de sections de cure médicale et pour le développement de SSIAD est assuré.
1.2.2. L'amélioration de la qualité des prises en charge des personnes âgées dépendantes accueillies en établissement sera inscrite dans les conventions tripartites prévues à l'article 5-1 de la loi du 30 juin 1975 modifiée
Des moyens nouveaux de l'assurance maladie y sont consacrés dès 2000, année de transition entre le dispositif à tarification binaire et la nouvelle tarification issue du cadre juridique de la loi du 24 janvier 1997.
Ils permettront l'entrée dans la nouvelle tarification d'un certain nombre d'établissements réunissant d'ores et déjà les conditions qualitatives et financières d'éligibilité.
442 MF permettront d'assurer d'une part, la montée en charge de la réforme de la tarification en 2000, essentiellement pour financer les effets « mécaniques » du passage à la nouvelle tarification et d'autre part, la poursuite de l'apurement du financement des places de section de cure médicale autorisées non financées qui devra autant que possible, être envisagé dans le cadre d'une convention tripartite.
Cet apurement concernera prioritairement les départements où la densité des lits médicalisés n'est pas nettement supérieure à la moyenne nationale.
Ces 442 MF prennent en compte notamment les crédits en provenance de l'enveloppe « soins de ville » qui correspondent à l'intégration dans les tarifs soins des établissements signataires de la convention tripartite (tarifs partiels ou globaux) d'une partie des actes exercés par les professionnels libéraux. Les crédits en provenance de l'enveloppe sanitaires qui correspondent à la réintégration dans les budgets des EHPAD des transferts de fait constatés au titre du compte 628, viendront s'y agréger dans les conditions rappelées au II.2.1.
1.2.3. Une enveloppe de 93 MF est destinée à la création de 2 000 places de services de soins infirmiers à domicile, qui constituent le pivot du soutien des personnes âgées dépendantes et sont appelés à devenir le support de véritables services polyvalents de vie à domicile, combinant les prises en charge sanitaire, sociale et médico-sociale. Les modalités de répartition de ces places figurent en annexe 1 e et une enveloppe correspondant à 20 % de la mesure est réservée au plan national pour permettre les arbitrages de nature à renforcer les rééquilibrages régionaux, à projeter l'installation de SSIAD pour adultes handicapés et à contribuer au développement des services polyvalents de vie à domicile.
1.2.4. La mise en place des centres locaux d'information et de coordination gérontologique (CLIC), leur labellisation pour sceller la constitution d'un réseau et leur financement feront prochainement l'objet d'instructions spécifiques. 5 MF, qui pourraient être abondés, permettront le co-financement de 25 sites expérimentaux adossés à un hôpital local, à une maison de retraite médicalisée, à un SSIAD autonome ou à un CCAS gérant l'un de ces établissements ou services.
1.3. Les mesures spécifiques
1.3.1. Comme l'an dernier, une enveloppe de 10 MF est consacrée au financement des actions expérimentales de caractère médical et social régies par les articles L. 162-31 et R. 162-46 à R. 162-50 du code de la sécurité sociale qui seront agréés par la ministre en 2000.
1.3.2. L'action médico-sociale des centres de cure ambulatoire en alcoologie (CCAA) constitue un appui prioritaire de l'action en faveur des personnes en difficultés avec l'alcool.
La circulaire DGS/SP 3 n° 99-556 du 1er octobre 1999 a fait connaître le montant des crédits prévus au projet de loi de financement de la sécurité sociale - 27,5 MF - et leur finalité : consolidation et création de structures dans un contexte de travail en réseau avec les acteurs concourant à la lutte contre ce fléau. Ce montant a été confirmé par la loi définitivement votée.
En fonction des informations appelées par cette circulaire, et qui sont actuellement en cours d'exploitation nationale, les enveloppes de mesures nouvelles seront notifiées au cours du 1er trimestre 2000.
L'annexe 1 présente les modalités d'attribution de l'ensemble de ces crédits.
2. La nouvelle définition des dotations de crédits et les dotations de reconduction des moyens pour les structures en place
2.1. La reconduction des moyens
Les dotations de crédits médico-sociaux notifiées au titre de 1999 ont préalablement été majorées du montant des crédits transférés durant l'année par les DDASS ou les DRASS d'une sous-enveloppe à l'autre, mais surtout des crédits en provenance des établissements sanitaires (207,14 MF), et d'autres enveloppes de l'ONDAM : le montant global de ces transferts s'élève à 238,117 MF en dépenses des établissements.
Il convient toujours de faire jouer pleinement la fongibilité entre les diverses composantes de vos enveloppes sanitaire et médico-sociale, au bénéfice notamment d'une meilleure médicalisation des établissements qui accueillent des personnes dépendantes, qu'il s'agisse des établissements médico-sociaux ou des établissements de santé dotés de services de soins de longue durée ou gérant des maisons de retraite.
Cette fongibilité est à organiser tant entre les deux enveloppes sanitaire et médico-sociale qu'entre les sous-enveloppes les composant.
Pour ce faire les commissions exécutives des agences régionales de l'hospitalisation et les conférences administratives régionales sont les instances à privilégier pour déterminer et mobiliser les redéploiements de crédits nécessaires à l'amélioration du niveau des soins prodigués par ces établissements, en complément des mesures nouvelles allouées dans le cadre de l'ONDAM.
Du point de vue du calendrier d'harmonisation des comptes centraux et régionaux, il importe que les services régionaux informent tant la direction des hôpitaux que la direction de l'action sociale, au plus tard le 1er septembre, des mouvements dont ils assurent l'effectivité avant la fin de l'année. A défaut, leur projet ne pourra pas être enregistré dans les notifications de crédits de l'année suivante.
Enfin, du fait de la constitution des unions pour la gestion des établissements des caisses d'assurance maladie (UGECAM), les frais de gestion qui étaient jusqu'à présent supportés par le budget de gestion administrative des caisses, seront financés par le budget des établissements eux-mêmes. Les sommes correspondantes sont incluses dans les enveloppes notifiées.
2.2. Les facteurs d'évolution des taux de reconduction sont les suivants :
L'effet de glissement-vieillesse-technicité (GVT) reste normé à 0,8 % de la masse salariale.
L'effet report de la seconde tranche du protocole Zuccarelli dans les établissements du secteur public (augmentation de la valeur du point et points indifférenciés) ainsi que sa transposition au secteur privé non lucratif pour permettre l'équilibre financier des accords agréés de réduction du temps de travail (voir infra point 4), produiront une augmentation de la masse salariale variable selon l'effet des points indifférenciés, de 1,235 % dans les établissements pour personnes handicapées, 1,184 % dans les établissements médicalisés pour personnes âgées, 1,233 % dans les SSIAD.
Pour les seuls établissements du secteur public, l'effet report des mesures catégorielles (repyramidage NEI et ES et revalorisation de la carrière des aides soignantes) est de 78,53 MF dans les établissements médicalisés pour personnes âgées et 23,5 MF dans les SSIAD.
Le taux de cotisation au fonds pour l'emploi hospitalier (FEH) est porté, par décret n° 2000-23 du 12 janvier 2000, à 0,80 % au 1er janvier 2000. La contribution à la formation initiale et continue des directeurs des établissements publics sociaux et médico-sociaux (hors maisons de retraite) sera augmentée : ce taux, assis sur la masse salariale passe à 0,20 % au titre de l'année 2000. 12 MF sont prévus pour ces deux mesures.
Enfin le taux de cotisation à la caisse nationale de retraites des agents des collectivités locales (CNRACL) à la charge de l'employeur, sera augmenté et porté à 25,60 % au 1er janvier 2000 (32,49 MF).
Les crédits permettant le financement de ces quatre mesures, qui ne concernent que les personnels relevant de la fonction publique hospitalière, ont été répartis en proportion du poids du secteur public dans chaque région, tel qu'il ressort de l'enquête faite en 1999 sur l'impact du protocole Zuccarelli.
2.3. Les différents forfaits plafond sont réévalués en fonction du niveau de progression des crédits d'assurance maladie, hors mesures nouvelles, autorisé pour chaque secteur et s'établissent à compter du 1er janvier 2000 à :
- Forfait section de cure médicale : Secteur public Secteur privé
- Forfait soins courants :
21,33 F
21,14 F
- Forfait section de cure médicale :
171,79 F
170,30 F
Le système de ces forfaits soins plafonnés est maintenu pour les établissements médicalisés qui n'auront pas signé de convention tripartite.
En revanche, il ne constituera plus une référence en cas d'anticipation totale ou partielle de l'application de la nouvelle tarification au cours de l'exercice 2000. Les tarifs afférents aux soins issus de la nouvelle tarification n'ont plus aucun lien avec l'ancien système de forfaits « soins » plafonnés.
- Forfait section de cure médicale : Secteur public Secteur privé
- Forfait SSIAD :
210,02 F
208,74 F
- Forfait FDT :
373,28 F
373,12 F
2.5. L'euro est désormais la monnaie scripturale de référence, et durant la période transitoire qui s'est ouverte le 1er janvier 1999, l'ensemble des prix doit être affiché à la fois en francs et en euros. Aussi convient-il que les arrêtés qui fixent la tarification des établissements et services soient également libellés dans ces deux références monétaires. Je vous rappelle que 1 euro = 6,55957 francs.
3. Le suivi des dotations
3.1. La circulaire du 1er mars 1999 relative à la campagne budgétaire pour l'année 1999 avait rappelé que la loi définit un objectif national pour les dépenses de l'assurance maladie, et que la gestion des enveloppes nationales et des dotations régionales et départementales devait désormais s'organiser en fonction du critère des dépenses effectives des caisses.
Le logiciel GEODE a été conçu pour enregistrer les dépenses et recettes prévisionnelles puis réelles totales des établissements, réparties en groupes de dépenses et de recettes. Mais l'encadrement que suppose la loi, portera pour sa part sur la seule « recette de la tarification », c'est à dire les prix de journées, forfaits, prix de séances..., attendus de l'assurance maladie. Ce logiciel a été constitué et sera diffusé aux services déconcentrés dans les premiers mois de l'année 2000.
Dans l'immédiat vous trouverez ci-après en annexe 2, avant la mise en service effective de GEODE, la notification des enveloppes régionales pour l'année 2000 au sens ancien de PAGE, c'est à dire la classe 6 des budgets diminuée de quelques recettes en atténuation. Un envoi parallèle sur support informatique (excel) permettra d'assurer localement la gestion des dotations.
3.2. Pour assurer la transition mathématique entre l'ancienne définition des enveloppes et la nouvelle définition des dotations encadrées, l'annexe 2 indique ensuite à titre préparatoire, les dotations régionales équivalentes au sens nouveau de GEODE, c'est à dire les montants des dépenses à la charge de l'assurance maladie au 31 décembre 1999.
Cette transposition s'est appuyée sur les tableaux d'enquête demandés par la circulaire du 1er mars 1999 sus-visée et les réponses des services, qui établissent l'équivalence entre les deux agrégats lors de la campagne budgétaire puis le montant en francs des bases régionales nouvelles.
Quelques DDASS et DRASS n'ont toujours pas fait connaître les données demandées pour l'année passée. Leurs montants seront complétés dès la réception des informations aujourd'hui manquantes.
3.3. La gestion prochaine des dotations de financement de l'assurance maladie impose une vigilance accrue sur le résultat financier des établissements à la fin des exercices budgétaires : le logiciel GEODE appelle l'identification et la saisie de ce chiffre, et permettra à chaque niveau de l'intervention publique, de synthétiser cet indicateur de la bonne ou mauvaise santé économique des établissements.
Dans l'attente, la mesure des instances contentieuses en cours reflète le niveau des désaccords entre les partenaires locaux. Aussi le recensement de ces contentieux est-il demandé cette année par l'annexe 4 pour les établissements financés par l'assurance maladie.
3.4. L'incidence de la réforme de la tarification des établissements
pour personnes âgées dépendantes
Les textes législatifs et réglementaires relatifs à la réforme des EHPAD feront l'objet d'évolutions destinées à améliorer les conditions de réalisation de la réforme sans en modifier l'économie générale.
L'année 2000 sera le premier exercice budgétaire où apparaîtront les effets de la réforme pour un nombre significatif d'établissements.
4. La gestion des dotations pour la réduction du temps de travail
La loi n° 98-461 du 13 juin 1998 d'orientation et d'incitation relative à la réduction du temps de travail a suscité un mouvement de négociation important dans le champ médico-social. Les partenaires sociaux ont signé au niveau national, un accord de branche (UNIFED) étendu par la suite par arrêté ministériel, puis des avenants aux conventions collectives qui ont été agréés, enfin de nombreux accords d'établissements qui font à leur tour l'objet d'une décision ministérielle après instruction par les services déconcentrés. Ces accords sont appelés à bénéficier de l'aide incitative prévue.
Les incidences financières seront donc variables selon les caractéristiques de chaque établissement, ses références conventionnelles, le calendrier et l'intensité de la réduction du travail puis l'ampleur des embauches compensatoires.
Pour financer ces incidences, les établissements du secteur privé pourront provisionner les mêmes moyens de progression salariale générale que ceux accordés aux établissements du secteur public, et les affecter au financement des embauches nécessitées par la réduction du temps de travail, en fonction de l'équilibre acté dans le tableau de financement fourni à l'appui de leur accord agréé. Les marges indiquées en annexe 2 pour la revalorisation des masses salariales ont été calculées en fonction de la progression déjà acquise des rémunérations du secteur public, et étendues à l'ensemble du champ des établissements médico-sociaux.
La loi du 19 janvier 2000 relative à la réduction négociée du temps de travail prolonge ce dispositif par des aides pérennes qui abaissent le coût du travail par des réductions de charges patronales appliquées de manière dégressive pour les rémunérations comprises entre le SMIC et 1,8 SMIC. Cet allégement est toutefois subordonné à un accord d'entreprise ou, pour les entreprises de moins de 50 salariés, à « un accord de branche étendu fixant les paramètres essentiels de la réduction de la durée du travail ». La négociation collective est ainsi appelée à s'enrichir de nouveaux accords, qui adapteront les conditions d'organisation des établissements. Des instructions complémentaires vous seront prochainement adressées sur ce point.
Dans l'immédiat, en tout état de cause, aucun moyen complémentaire à ce titre ne peut être accepté dans les budgets, en sus des provisions déjà indiquées.
L'annexe 3 précise les modalités de gestion des dotations puis l'affectation conseillée des crédits dans les budgets et bilans.
L'allocation des moyens aux structures en place reposera sur une appréciation juste des situations différentes des établissements, qu'ils soient de statut public ou privé, et selon leurs projets de réorganisation.
L'année 2000 sera ainsi au premier chef, l'année d'une concertation nourrie au sein des établissements ou services et avec les pouvoirs publics, pour l'adaptation de l'offre de services aux besoins des personnes.
Le directeur de l'action sociale,
P. Gauthier
Le directeur de la sécurité sociale,
R. Briet
ANNEXE I
L'affectation des crédits pour accroître les capacités d'accueil des personnes handicapées ou âgées
Pour que l'ouverture des places nouvelles se concrétise dans des délais rapides et que leur programmation s'inscrive dans une perspective d'ensemble, vous trouverez ci-après les recommandations pour la gestion des mesures nouvelles dont la loi de financement de la sécurité sociale a retenu l'incidence :
ANNEXE I a
Notification de la tranche 2000
du plan pluriannuel pour adultes handicapés MAS/FDT
RÉGIONS | NOMBRE de places | ENVELOPPE EN FRANCS sur 12 mois |
---|---|---|
Alsace | 27 | 5 645 430 |
Aquitaine | 41 | 8 572 690 |
Auvergne | 13 | 2 718 170 |
Bourgogne | 18 | 3 763 620 |
Bretagne | 24 | 5 018 160 |
Centre | 31 | 6 481 790 |
Champagne | 16 | 3 345 440 |
Corse | 4 | 836 360 |
Franche-Comté | 8 | 1 672 720 |
Ile-de-France | 381 | 79 663 290 |
Languedoc | 17 | 3 554 530 |
Limousin | 3 | 627 270 |
Lorraine | 20 | 4 181 800 |
Midi-Pyrénées | 15 | 3 136 350 |
Nord-Pas-de-Calais | 51 | 10 663 590 |
Basse-Normandie | 10 | 2 090 900 |
Haute-Normandie | 25 | 5 227 250 |
Pays de la Loire | 28 | 5 854 520 |
Picardie | 27 | 5 645 430 |
Poitou-Charente | 19 | 3 972 710 |
PACA | 79 | 16 518 110 |
Rhône-Alpes | 72 | 15 054 480 |
Guadeloupe | 28 | 5 854 520 |
Guyane | 13 | 2 718 170 |
Martinique | 14 | 2 927 260 |
Réunion | 6 | 1 254 540 |
Total | 990 | 206 999 100 |
ANNEXE I b
AUTISME : QUATRIÈME APPEL D'OFFRE RELATIF À LA CRÉATION DE PLACES NOUVELLES AU BÉNÉFICE DES ENFANTS, ADOLESCENTS ET ADULTES AUTISTES
Modalités d'utilisation de l'enveloppe de 50 millions de francs
inscrits dans l'ONDAM 2000 pour cette catégorie de handicap
I. - ORGANISATION GÉNÉRALE
Ce quatrième appel d'offre sur l'autisme au titre de l'exercice 2000 s'inscrit dans la continuité de ceux organisés en 1995, 1997 et 1999.
Il vous est donc demandé de classer par ordre décroissant de priorités régionales un à cinq projets (chiffres indicatifs) justifiant l'octroi de crédits nouveaux susceptibles d'émarger à l'enveloppe de 50 millions de francs consacrée à l'autisme.
Les projets sélectionnés devront avoir préalablement fait l'objet d'un avis de la section sociale du CROSS et être compatibles avec les objectifs retenus dans le plan d'action régional sur l'autisme arrêté par le préfet de région.
Le tableau n° 1 ci-joint est à utiliser obligatoirement pour formaliser la récapitulation de vos demandes prioritaires.
Ce récapitulatif, accompagné d'un descriptif synthétique des opérations proposées et présentées selon les fiches A ou B également jointes, sont à transmettre à la direction de l'action sociale (bureau TS 2) pour le 17 avril 2000 délai de rigueur.
Il vous est demandé d'élaborer vos priorités après avis du comité technique régional sur l'autisme et du CTRI, préalablement à l'examen par la CAR.
II. - LES PRIORITÉS POUR 2000
1. Les deux priorités à vocation interrégionale
La création d'un centre de ressources expérimental pour autistes implanté dans la région Ile-de-France et d'une MAS expérimentale pour autistes adultes présentant des troubles graves du comportement feront l'objet d'une programmation spécifique dès l'exercice 2000. Les préfets des régions concernées recevront ultérieurement une instruction spécifique afin de conduire ces deux opérations.
2. Les enfants et les adolescents autistes
La création de nouvelles sections d'IME et de SESSAD (couplés généralement à des classes d'intégration scolaire) restent une priorité, étant entendu que vous avez la possibilité d'octroyer à ces structures des agréments dérogatoires s'étendant aux jeunes adultes âgés de plus de vingt ans (cf. circulaires n° 24 SS du 9 avril 1969 et AS/EN n° 95-12 du 27 avril 1995).
3. Les adultes autistes
Sans préjudice des opérations qui pourront par ailleurs s'imputer en tout ou partie sur le plan pluriannuel pour personnes adultes handicapées tout particulièrement (pour les adultes autistes les plus lourdement handicapés), il convient de poursuivre la création de places spécifiques de FDT et de MAS, étant entendu que les projets de FDT seront retenus en priorité par l'administration centrale, compte tenu de la lourdeur du coût pour l'assurance maladie d'une place de MAS. Il est toutefois rappelé qu'en application de la circulaire du 27 avril 1995 précitée, vous avez la possibilité de déroger au forfait plafond afférant aux soins dans un FDT pour autistes, afin de tenir compte de la lourdeur de ce handicap.
*
* *
Pour tout renseignement complémentaire, vous pouvez vous adresser à :
Bauduret (Jean-François), tél. : 01-44-36-95-46, fax : 01-44-36-97-22, messagerie : DAS-CHGMISS-1.
Docteur Gilbert (Pascale), tél. : 01-44-36-96-81, fax : 01-44-36-97-22, messagerie : DAS-RVAS-CT (PASCALE GILBERT).
Segui (Michèle), tél. : 01-44-36-97-05, fax : 01-44-36-97-24, messagerie : DAS-TS2-INVESTISSEMENT.
TABLEAU N° 1 : AUTISME
Quatrième appel d'offre 50 MF (2000) : récapitulatif des projets prioritaires au plan régional
Nombre de projets :
Nombre de places :
Coût total
Région :
PRIORITÉ | IMPLANTATION (commune département) | ÉTABLISSEMENT | NATURE du projet | CAPACITÉ | NATURE population | FINANCEMENT du fonctionnement en année pleine (MF) | VALEUR DU PRIX de journée ou montant du forfait soins | |||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Type | Gestionnaire | Création | Extérieur | Internat | Semi- internat | Total Enfant Adulte | ||||||
1 | ||||||||||||
2 | ||||||||||||
3 | ||||||||||||
4 | ||||||||||||
5 | ||||||||||||
TOTAL |
MODELE A
Région : Département :
AUTISME
Quatrième appel d'offre pour 2000
Fiche relative à l'extension ou à la transformation d'une structure
I. - DONNÉES GÉNÉRALES
Commune d'implantation :
Personne morale gestionnaire :
Etablissement concerné :
Intitulé :
Base d'agrément :
Nombre de places existantes :
N° FINESS :
Nombre de places nouvelles :
Nombre de journées d'ouverture par an (au titre de l'extension) :
CARACTÉRISTIQUES de l'établissement d'origine (population accueillie, type de handicap)CARACTÉRISTIQUES de la population accueillie dans le cadre de l'extension ou de la transformation (âge, mixité ou non, etc.) |
---|
II. - DONNÉES FINANCIÈRES
Coût total de l'opération en investissements :
Financement de l'investissement : emprunts (en %)
Financement de l'investissement : fonds propres (en %)
Coût total du fonctionnement en année pleine :
Coût total des frais de personnel en année pleine :
Prix de journée :
Prix actuel
Prix prévisionnel après extension ou modification
III. - ENCADREMENT
Avant
Après
Ratio d'encadrement total de l'établissement :
Ratio d'encadrement à proximité de la personne :
Personnel recruté :
Nombre (en ETP)
- administratifs
- médicaux
- auxiliaires médicaux
- éducatifs
- enseignants (préciser si mis à disposition par l'éducation nationale)
- autres (préciser)
IV. - PROJET DE L'ÉTABLISSEMENT
1. Thérapeutique (qui fait quoi ?) | |
2. Educatif et insertion sociale (vie quotidienne, autonomie, ateliers éducatifs, thérapeutiques, qui supervise ?) | |
3. Pédagogique (interne, intégration partielle ou totale) | |
4. Action auprès des familles (y a-t-il cohérence autour d'un projet thérapeutique global ?) | |
5. Le partenariat et l'intégration de l'établissement dans une logique de réseau de soins | |
Le partenariat avec qui ? | |
Quels relais ? | |
Quelles complémentarités ? (pédo-psychatriques, éducation nationale) | |
6. Cohérence avec le schéma départemental (grandes lignes) |
MODÈLE B
Région : Département :
AUTISME
Quatrième appel d'offres pour 2000
Fiche relative à la création d'une structure spécifique
I. - DONNÉES GÉNÉRALES
Commune d'implantation :
Personne morale gestionnaire :
Nombre de places :
Nombre de journées d'ouverture par an :
Population accueillie (âge, mixité ou non, etc.)
Date prévue d'ouverture :
II. - DONNÉES FINANCIÈRES
Coût total de l'opération en investissements :
Financement de l'investissement : Emprunts (en %)
Financement de l'investissement : Fonds propres (en %)
Coût total du fonctionnement en année pleine :
Coût total des frais de personnel en année pleine :
Prix de journée prévu (ou tarif de prestation) :
III. - ENCADREMENT
Ratio d'encadrement total de l'établissement :
Ratio d'encadrement à proximité de la personne
Personnel recruté :
Nombre (en ETP)
- administratifs
- médicaux
- auxiliaires médicaux
- éducatifs
- enseignants (préciser si mis à disposition par l'éducation nationale)
- autres (préciser)
IV. - PROJET DE L'ÉTABLISSEMENT
1. Thérapeutique | |
2. Educatif et insertion sociale | |
3. Pédagogique |
ANNEXE I c
TRAUMATISME CRÂNIEN : troisième appel d'offre relatif
à la création de places nouvelles au bénéfice des traumatisés crâniens et cérébro-lésés
Modalités d'utilisation de l'enveloppe de 50 millions de francs inscrits
dans l'ONDAM 2000 pour cette catégorie de handicap
I. - ORGANISATION GENERALE
Ce troisième appel d'offre sur le traumatisme crânien au titre de l'exercice 2000, s'inscrit dans la continuité de ceux organisés en 1996 et 1998.
Il vous est donc demandé de classer par ordre décroissant de priorités régionales un à cinq projets (chiffres indicatifs) justifiant l'octroi de crédits nouveaux susceptibles d'émarger à l'enveloppe de 50 millions de francs consacrée aux traumatisés crâniens.
Les projets sélectionnés devront avoir préalablement fait l'objet d'un avis de la section sociale du CROSS (cet avis n'étant pas obligatoire pour les UEROS) et être compatibles avec les objectifs retenus dans le dispositif régional coordonné sur le traumatisme crânien arrêté par le préfet de région.
Le tableau n° 2 ci-joint est à utiliser obligatoirement pour formaliser la récapitulation de vos demandes prioritaires.
Ce récapitulatif, accompagné d'un descriptif synthétique des opérations proposées et présentées selon les fiches A ou B également jointes sont à transmettre à la direction de l'action sociale (bureau TS2) pour le 17 avril 2000 délai de rigueur.
Il vous est demandé d'élaborer vos priorités après avis du comité de pilotage régional sur le traumatisme crânien et du CTRI, préalablement à l'examen par la CAR.
II. - LES PRIORITES POUR 2000
Deux priorités principales sont à prendre en compte.
1. Première priorité : poursuivre l'extension des capacités d'accueil en FDT ou en MAS au bénéfice des personnes cérébro-lésées les plus lourdement handicapées (GOS 2 et GOS 3 de l'échelle de Glasgow).
Sans préjudice des opérations qui pourront par ailleurs s'imputer en tout ou partie sur le plan pluriannuel pour personnes adultes handicapées, il convient de poursuivre la création de places spécifiques de FDT et de MAS, étant entendu que les projets de FDT seront retenus en priorité par l'administration centrale, compte tenu de la lourdeur du coût pour l'assurance maladie d'une place de MAS. Il est toutefois rappelé que :
1. En application de la circulaire DAS/DE/DSS n° 96-428 du 4 juillet 1996, vous avez la possibilité de déroger au forfait plafond afférent aux soins dans un FDT pour traumatisés crâniens, afin de tenir compte de la lourdeur de ce handicap.
2. Certains projets de MAS pourront être retenus s'ils respectent trois critères :
Vous avez également la possibilité, en application de l'article 4 de la loi n° 75-535 du 30 juin 1975 relative aux institutions sociales et médico-sociales, de promouvoir des équipes mobiles expérimentales, transposition des SESSAD aux handicapés adultes, afin de favoriser le maintien à domicile de personnes cérébro-lésées, dans le respect du libre choix des familles. De telles équipes mobiles peuvent être rattachées soit à un FDT ou une MAS, soit à une UEROS, soit éventuellement à un établissement de santé compétent dans le domaine des personnes cérébro-lésées.
2. Seconde priorité : compléter le maillage du territoire en matière d'UEROS (unités expérimentales d'évaluation, de réentraînement et d'orientation sociale et professionnelle) rattachées à un centre de pré-orientation.
Ces unités expérimentales ont été définies par la circulaire DAS/DE/DSS n° 96-428 du 4 juillet 1996. A ce jour, il existe 20 UEROS, implantées dans 17 régions et desservant 18 régions.
Dans ce domaine, trois objectifs sont à prendre en compte :
*
* *
Pour tout renseignement complémentaire, vous pouvez vous adresser à :
BAUDURET (Jean-François), tél : 01-44-36-95-46, télécopie : 01-44-36-97-22, messagerie : DAS-CHGMISS-1.
Docteur GILBERT (Pascale), tél : 01-44-36-96-81, télécopie : 01-44-36-97-22, messagerie : DAS-RVAS-CT (Pascale Gilbert).
SEGUI (Michèle), tél : 01-44-36-97-05, télécopie : 01-44-36-97-24, messagerie : DAS-TS2-INVESTISSEMENT.
TABLEAU N° 2 : TRAUMATISME CRÂNIEN
Troisième appel d'offre 50 MF (2000) : récapitulatif des projets prioritaires au plan régional
Nombre de projets :
Nombre de places :
Coût total
Région :
PRIORITÉ | IMPLANTATION (commune département) | ÉTABLISSEMENT | NATURE du projet | CAPACITÉ | NATURE population | FINANCEMENT du fonctionnement en année pleine (MF) | VALEUR DU PRIX de journée ou montant du forfait soins | |||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Type | Gestionnaire | Création | Extérieur | Internat | Semi- internat | Total Enfant Adulte | ||||||
1 | ||||||||||||
2 | ||||||||||||
3 | ||||||||||||
4 | ||||||||||||
5 | ||||||||||||
TOTAL |
MODELE A
Région : Département :
TRAUMATISME CRÂNIEN
Troisième appel d'offre pour 2000
Fiche relative à l'extension ou à la transformation d'une structure
I. - DONNÉES GÉNÉRALES
Commune d'implantation :
Personne morale gestionnaire :
Etablissement concerné :
Intitulé :
Base d'agrément :
Nombre de places existantes :
N° FINESS :
Nombre de places nouvelles :
Nombre de journées d'ouverture par an (au titre de l'extension) :
CARACTÉRISTIQUES de l'établissement d'origine (population accueillie, type de handicap)CARACTÉRISTIQUES de la population accueillie dans le cadre de l'extension ou de la transformation (âge, mixité ou non, etc.) |
---|
II. - DONNÉES FINANCIÈRES
Coût total de l'opération en investissements :
Financement de l'investissement : Emprunts (en %)
Financement de l'investissement : Fonds propres (en %)
Coût total du fonctionnement en année pleine :
Coût total des frais de personnel en année pleine :
Prix de journée :
Prix actuel
Prix prévisionnel après extension ou modification
III. - ENCADREMENT
Avant
Après
Ration d'encadrement total de l'établissement :
Ratio d'encadrement à proximité de la personne :
Personnel recruté :
Nombre (en ETP)
- administratifs
- médicaux
- auxiliaires médicaux
- éducatifs
- enseignants (préciser si mis à disposition par l'éducation nationale)
- autres (préciser)
IV. - PROJET DE L'ÉTABLISSEMENT
1. Thérapeutique et réhabilitation (Qui fait quoi ?) | |
2. Insertion sociale (Vie quotidienne, autonomie, ateliers médico-éducatifs, qui supervise ?) | |
C. Modalités d'inscription dans un réseau coordonné : travail en partenariat (conventions...) avec des établissements d'amont (voire d'aval), liens avec les pôles de référence, y compris le cas échéant une UEROS |
MODELE B
Région : Département :
TRAUMATISME CRÂNIEN
Troisième appel d'offre pour 2000
Fiche relative à la création d'une structure spécifique
I. - DONNÉES GÉNÉRALES
Commune d'implantation :
Personne morale gestionnaire :
Nombre de places :
Nombre de journées d'ouverture par an :
Population accueillie (âge, mixité ou non, etc.)
Date prévue d'ouverture :
II. - DONNÉES FINANCIÈRES
Coût total de l'opération en investissements :
Financement de l'investissement : Emprunts (en %)
Financement de l'investissement : Fonds propres (en %)
Coût total du fonctionnement en année pleine :
Coût total des frais de personnel en année pleine :
Prix de journée prévu (ou tarif de prestation) :
III. - ENCADREMENT
Ratio d'encadrement total de l'établissement :
Ratio d'encadrement à proximité de la personne :
Personnel recruté :
Nombre (en ETP)
- administratifs
- médicaux
- auxiliaires médicaux
- éducatifs
- enseignants (préciser si mis à disposition par l'éducation nationale)
- autres (préciser)
IV. - PROJET DE L'ÉTABLISSEMENT
1. Thérapeutique et réhabilitation |
2. Insertion sociale |
C. Modalités d'inscription dans un réseau coordonné : travail en partenariat (conventions...) avec des établissements d'amont (voire d'aval), liens avec les pôles de références, y compris le cas échéant une UEROS |
ANNEXE I d
APPEL D'OFFRES RELATIF A LA CRÉATION DE PLACES NOUVELLES
DE CAMSP ET DE SESSAD
Modalités d'utilisation des 60 millions de francs de crédits
inscrits dans l'ONDAM 2000 pour ces catégories de structures
I. - ORGANISATION GÉNÉRALE
Les programmes CAMSP et SESSAD disposent respectivement, au titre de l'année 2000, d'une enveloppe spécifique de 20 et 40 millions de francs. Ces crédits seront répartis dans le cadre d'un appel d'offre.
Il vous est donc demandé de classer, par ordre décroissant des priorités régionales, un à cinq projets (chiffres indicatifs) justifiant l'octroi de crédits nouveaux susceptibles d'émarger à ces deux enveloppes.
Les projets sélectionnés devront être réalisables en 2000, c'est-à-dire avoir préalablement fait l'objet d'un avis de la section sociale du CROSS, avoir reçu l'autorisation préfectorale pour ouvrir en 2000 et, pour les CAMSP, être assurés de l'engagement financier du conseil général.
Les tableaux n° 1 (CAMSP) et n° 2 (SESSAD) ci-joints sont à utiliser obligatoirement pour formaliser le récapitulatif de vos demandes prioritaires.
Ces récapitulatifs régionaux, accompagnés d'un descriptif synthétique des opérations proposées et présentées selon les fiches également jointes, sont à transmettre à la direction de l'action sociale (bureau TS 2) pour le 17 avril 2000, délai de rigueur.
II. - CRITERES SPÉCIFIQUES À CHAQUE ENVELOPPE
Les critères qui présideront à la répartition de ces crédits sont les suivants :
Enveloppe destinée à la création de CAMSP (20 MF).
Cet appel d'offres s'inscrit dans la continuité de l'action engagée en 1998 et 1999. La priorité est donnée, encore cette année, aux départements dépourvus de CAMSP, soit huit départements concernés (La Lozère, la Meuse, les Vosges, le Gers, la Haute-Garonne, les Hautes-Pyrénées, le Tarn-et-Garonne, les Deux-Sèvres).
La répartition du disponible, après satisfaction de ce premier critère, se fera au profit des régions apparaissant les plus déficitaires, au regard de l'enquête réalisée par l'ANECAMSP. L'objectif est, en effet, de renforcer l'action médico-sociale par une meilleure couverture des besoins par département.
Enveloppe destinée à la création de SESSAD (40 MF).
S'agissant de la création de places de SESSAD, les projets retenus répondront aux besoins des départements qui disposent d'un taux d'équipement en SESSAD inférieur à 1 place pour 1000 habitants de moins de vingt ans et d'un taux global d'équipement en établissements et services d'éducation spéciale inférieur à 8 places pour 1000 habitants.
Une attention particulière sera accordée aux projets de SESSAD destinés à accompagner les enfants et adolescents handicapés intégrés en milieu ordinaire dans le cadre des dispositifs collectifs d'intégration que le ministère de l'éducation nationale, de la recherche et de la technologie entend développer, en particulier les unités pédagogiques d'intégration (UPI).
III. - BILAN DE LA RÉALISATION
DES MESURES NOUVELLES RELATIVES AUX CAMSP ET AUX SESSAD
Un bilan des mesures ainsi réalisées sera établi en fin d'année 2000. Des fiches vous seront adressées ultérieurement à cet effet.
Pour tout renseignement complémentaire, vous pouvez vous adresser à :
GARONNE (Annick), tél. : 01-44-36-96-53, télécopie : 01-44-36-97-78.
VEBER (Anne), tél. : 01-44-36-96-59, télécopie : 01-44-36-97-78.
SEGUI (Michèle), tél. : 01-44-36-97-05, télécopie : 01-44-36-97-24.
TALBEAU N° 1
Région :
APPEL D'OFFRES EN VUE DE LA CRÉATION OU DE L'EXTENSION DE CAMSP (2000)
Propositions
ORDRE de priorité | DÉPARTEMENT | COMMUNE | ASSOCIATION gestionnaire | CAPACITÉ | COÛT total de fonctionnement en année pleine | PARTICIPATION du conseil général (20 %) | DOTATION assurance maladie | PARTICIPATION de la dotation départementale ou régionale | MONTANT sollicité sur l'enveloppe nationale | PASSAGE en CROSS (date) | OBSERVATIONS | |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Création | Extérieur | |||||||||||
1 | ||||||||||||
2 | ||||||||||||
3 | ||||||||||||
4 | ||||||||||||
5 | ||||||||||||
Total région |
Région : Département :
Mesures nouvelles 2000 pour le développement de CAMSP
fiche relative à la création d'une structure spécifique
I. - DONNÉES GÉNÉRALES
Commune d'implantation :
Personne morale gestionnaire :
Avis CROSS et date : Date de l'arrêté préfectoral :
Capacité autorisée :
Nombre de journées d'ouverture par an :
Population accueillie (handicap, âge, mixité ou non, etc.) :
Date prévue d'ouverture :
II. - DONNÉES FINANCIÈRES
Coût total de l'opération en investissements :
Financement de l'investissement :
Coût total du fonctionnement en année pleine :
Participation de la dotation départementale ou régionale :
Participation du conseil général :
Montant de la dotation prévisionnelle d'assurance maladie :
Montant demandé sur l'enveloppe nationale :
Coût total des charges de personnel en année pleine :
III. - ENCADREMENT
Personnel recruté
NATURE | NOMBRE EN ETP |
---|---|
Administratifs | |
Médicaux | |
Paramédicaux | |
Educatifs | |
Enseignants (préciser si mis à disposition par l'éducation nationale) | |
Assistante sociale | |
Autre (préciser) |
IV. - PROJET DE L'ÉTABLISSEMENT
A. - Objectifs généraux du projet :
B. - Caractériques principales de la prise en charge sous l'angle :
du dépistage :
thérapeutique et rééducatif :
de l'accompagnement :
C. - Modalités d'inscription dans un réseau coordonné (établissements sanitaires, PMI...) :
D. - Ce projet est-il inscrit dans les priorités du schéma départemental ?
Région :
Département :
MESURES NOUVELLES 2000
Fiche relative à l'extension d'un CAMSP
I. - DONNÉES GÉNÉRALES
Commune d'implantation :
Personne morale gestionnaire :
Etablissement concerné (intitulé, nombre de places existantes, base d'agrément, n° FINESS) :
Avis CROSS et date de l'avis (pour l'extension) :
Date de l'arrêté préfectoral :
Nombre de places nouvelles :
Nombre de journées d'ouverture par an :
Date prévue d'ouverture de l'extension :
II. - DONNÉES FINANCIÈRES
Coût total de l'opération d'extension en investissements :
Financement de l'investissement :
Coût total du fonctionnement en année pleine avant extension :
Montant demandé sur l'enveloppe nationale :
Coût total des frais de personnel en année pleine :
III. - ENCADREMENT
NATURE | NOMBRE EN ETP |
---|---|
Administratifs | |
Médicaux | |
Paramédicaux | |
Educatifs | |
Enseignants (préciser si mis à disposition par l'éducation nationale) | |
Assistante sociale | |
Autres (préciser) |
IV. - PROJET DE L'ÉTABLISSEMENT
A. Objectifs généraux du projet
B. Caractéristiques principales de la prise en charge sous l'angle
- du dépistage :
C. Modalités d'inscription dans un réseau coordonné
(établissements sanitaires, PMI...)
D. Ce projet est-il inscrit dans les priorités du schéma départemental ?
TABLEAU 2
Région :
Appel d'offres en vue de la création ou de l'extension de SESSAD
2000
Propositions
ORDRE de priorité | DÉPARTEMENT | COMMUNE | ASSOCIATION gestionnaire | ANNEXE (base d'agréments) | PASSAGE en CROSS (date) | COÛT total de l'opération | PARTICIPATION de la dotation départementale ou régionale MONTANT sollicité sur l'enveloppe nationale OBSERVATIONS | ||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
CAPACITÉS | |||||||||||
Créat. | Ext. | ||||||||||
1 | |||||||||||
2 | |||||||||||
3 | |||||||||||
4 | |||||||||||
5 | |||||||||||
Total région |
Département :
mesures nouvelles 2000 pour le développement des SESSAD
fiche relative à la création d'un service
I. - DONNÉES GÉNÉRALES
Commune d'implantation :
Personne morale gestionnaire :
Nombre de places :
Nombre de journées d'ouverture par an :
Population accueillie (handicap, âge, mixité ou non, etc.) :
Avis CROSS et date :
Date de l'arrêté préfectoral :
Date prévue d'ouverture :
II. - DONNÉES FINANCIERES
Coût total de l'opération en investissements :
Financement de l'investissement :
Emprunt (en pourcentage) =
Fonds propres (en pourcentage) =
Coût total du fonctionnement en année pleine :
Participation de la dotation régionale :
Montant de la dotation prévisionnelle d'assurance maladie :
Montant demandé sur l'enveloppe nationale :
TARIFICATION Prix de journée actuel (ou autre modalité de tarification du service retenue) |
---|
III. - ENCADREMENT
NATURE | NOMBRE EN ETP |
---|---|
Administratifs | |
Médicaux | |
Paramédicaux | |
Educatifs | |
Enseignants (préciser si mis à disposition par l'éducation nationale) | |
Assistante sociale | |
Autres (préciser) |
IV. - PROJET DU SERVICE
A. - Objectifs généraux du projet
B. - Caractéristiques principales de la prise en charge sous l'angle
C. - Partenariats envisagés
D. - Ce projet est-il inscrit
- dans les priorités du schéma départemental ?
(*) Ce groupe est-il installé, en voie d'installation, non installé ?
Région : ...
Département : ...
mesures nouvelles 2000 pour le développement des sessad
fiche relative à l'extension d'un service
I. Données générales
Commune d'implantation :
Personne morale gestionnaire :
Etablissement concerné (intitulé, nombre de places existantes, base d'agrément, n° FINESS) :
Avis CROSS et date de l'avis (pour l'extension) :
Date de l'arrêté préfectoral :
Nombre de places nouvelles :
Date prévue d'ouverture de l'extension :
II. - Données financières
Coût total de l'opération d'extension en investissement :
financement de l'investissement :
Coût total du fonctionnement en année pleine de l'extension :
Financement de l'extension sur dotation régionale :
Montant demandé sur l'enveloppe nationale :
TARIFICATION | |
---|---|
Prix de journée actuel (ou autre modalité de tarification du service retenue) | |
Après extension ou modification |
III. Encadrement
AVANT | APRES | |
---|---|---|
Ratio d'encadrement du service | ||
Ratio d'encadrement à proximité de la personne |
NATURE | NOMBRE EN ETP | |
---|---|---|
Administratifs | ||
Médicaux | ||
Médicaux | ||
Paramédicaux | ||
Educatifs | ||
Enseignants (préciser si mis à disposition par l'éducation nationale) | ||
Assistance sociale | ||
Autres (préciser) |
IV. - PROJET DU SERVICE
A. - Objectifs généraux du projet
B. - Caractéristiques principales
de la prise en charge sous l'angle
C. - Partenariats envisagés
D. - Ce projet est-il inscrit
(*) Ce groupe est-il installé, en voie d'installation, non installé ?
ANNEXE I d
appel d'offres relatif à la création de places nouvelles
pour enfants lourdement handicapés
Modalités d'utilisation des 30 millions de francs de crédits inscrits dans l'ONDAM 2000 pour ces catégories de structures
I. - ORGANISATION GÉNÉRALE
Ce programme dispose, au titre de l'année 2000, d'une enveloppe spécifique de 30 millions de francs. Ces crédits seront répartis dans le cadre d'un appel d'offres.
Il vous est donc demandé de classer par ordre décroissant des priorités régionales un à trois projets justifiant l'octroi de crédits nouveaux susceptibles d'émarger à cette enveloppe.
Les critères qui présideront à la répartition de cette enveloppe sont les suivants : ces crédits seront attribués prioritairement à des projets d'extension de capacités d'établissements pour enfants polyhandicapés (annexe XXIV ter) ou à la création, au sein d'autres établissements, de sections annexes pour jeunes polyhandicapés. Une attention particulière sera accordée aux besoins des départements dont le taux d'équipement figure parmi les plus bas.
Les projets sélectionnés devront être réalisables en 2000, c'est-à-dire avoir préalablement fait l'objet d'un avis de section sociale du CROSS et avoir reçu l'autorisation préfectorale pour ouvrir en 2000.
Ce récapitulatif régional, d'un descriptif synthétique des opérations proposées et présentées selon les fiches également jointes sont à transmettre à la direction de l'action sociale (bureau TS 2) pour le 17 avril 2000 délai de rigueur.
II. - BILAN de la réalisation des mesures nouvelles relatives aux extensions de capacité pour les enfants polyhandicapés
Un bilan des mesure ainsi réalisées sera établi en fin d'année 2000. Des fiches vous seront adressées ultérieurement à cet effet.
Pour tout renseignement complémentaire, vous pouvez vous adresser à :
Annick Garonne, tél. : 01-44-36-96-53, télécopie : 01-44-36-97-78.
Anne Veber, tél. : 01-44-36-96-59, télécopie : 01-44-36-97-78.
Michèle Ségui, tél. : 01-44-36-97-05, télécopie : 01-44-36-97-24.
TABLEAU N° 1
Région :
APPEL D'OFFRES EN VUE DE LA CRÉATION
DE PLACES POUR ENFANTS POLYHANDICAPÉS
2000
Propositions
ORDRE de priorité | DÉPARTEMENT | COMMUNE | ASSOCIATION gestionnaire | ANNEXE (base d'agrément) | PASSAGE en cross(date) | COÛT total de l'opération PARTICIPATION de la dotation départementale ou régionale MONTANT sollicité sur l'enveloppe nationale OBSERVATIONS | ||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
CAPACITÉ Créat. Créat. section poly Ext. étab. XXIV ter | ||||||||||||
1 | ||||||||||||
2 | ||||||||||||
3 | ||||||||||||
Total région |
Département :
mesures nouvelles 2000
fiche relative à la création d'un établissement pour enfants polyhandicapés (annexe XXIV ter)
I. Données générales
Commune d'implantation :
Personne morale gestionnaire :
Etablissement concerné (intitulé, nombre de places existantes, base d'agrément, n° FINESS) :
Caractéristiques de la population accueillie (handicap, âge, mixité ou non, etc.) :
Avis CROSS et date de l'avis (pour l'extension) :
Date de l'arrêté préfectoral :
Nombre de places :
Nombre de journées d'ouverture par an :
Date prévue d'ouverture de l'extension :
II. - DONNÉES FINANCIERES
Coût total de l'opération en investissement :
Emprunts (en pourcentage) =
Fonds propres (en pourcentage) =
Coût total du fonctionnement en année pleine de la structure :
Financement de la création sur dotation régionale :
Montant demandé sur l'enveloppe nationale :
III. - ENCADREMENT
Ratio d'encadrement de l'établissement | |
Ratio d'encadrement à proximité de la personne |
NATURE | NOMBRE EN ETP |
---|---|
Administratifs | |
Médicaux | |
Paramédicaux | |
Educatifs | |
Enseignants (préciser si mis à disposition par l'éducation) | |
Assistante sociale | |
Autres (préciser) |
IV. - PROJET DU SERVICE
A. Objectifs généraux du projet
B. Caractéristiques principales de la prise en charge sous l'angle
C. Partenariats envisagés
D. Ce projet est-il inscrit
dans les priorités du schéma départemental ?
Région : ...
Département : ...
mesures nouvelles 2000
Fiche relative à la création d'une section pour enfants polyhandicapés au sein d'un établissement d'éducation spéciale
I. - DONNÉES GÉNÉRALES
Commune d'implantation :
Personne morale gestionnaire :
Etablissement concerné (intitulé, nombre de places existantes, base d'agrément, n° FINESS) :
Avis CROSS et date de l'avis (pour l'extension) :
Date de l'arrêté préfectoral :
Nombre de places nouvelles :
Nombre de journées d'ouverture par an :
Date prévue d'ouverture de l'extension :
II. - DONNÉES FINANCIERES
Coût total de l'opération d'extension en investissements :
Financement de l'investissement :
Emprunt (en pourcentage) =
Fonds propres (en pourcentage) =
Coût total du fonctionnement en année pleine de la structure (avant création de la section) :
Coût total du fonctionnement en année pleine de la section pour enfants polyhandicapés :
Financement de la section sur dotation régionale :
Montant demandé sur l'enveloppe nationale :
TARIFICATION | |
---|---|
Prix de journée actuel | |
Après extension ou modification |
III. - ENCADREMENT
AVANT | APRES | |
---|---|---|
Ratio d'encadrement de la section | ||
Ratio d'encadrement à proximité de la personne |
NATURE | NOMBRE EN ETP | |
---|---|---|
Administratifs | ||
Médicaux | ||
Paramédicaux | ||
Educatifs | ||
Enseignants (préciser si mis à disposition par l'éducation nationale) | ||
Assistante sociale | ||
Autres (préciser) |
IV. - PROJET DU SERVICE
A. - Objectifs généraux du projet
B. - Caractéristiques principales de la prise en charge sous l'angle
C. - Partenariats envisagés
D. - Ce projet est-il inscrit dans les priorités du schéma départemental ?
Région :
Département :
mesures nouvelles 2000
Fiche relative à la création d'une section
pour enfants polyhandicapés (annexe XXIV ter)
I. - DONNÉES GÉNÉRALES
Communes d'implantation :
Personne morale gestionnaire :
Etablissement concerné (intitulé, nombre de places existantes, base d'agrément, n° FINESS) :
Avis CROSS et date de l'avis (pour l'extension) :
Date de l'arrêté préfectoral :
Nombre de places nouvelles :
Nombre de journées d'ouverture par an :
Date prévue d'ouverture de l'extension :
II. - DONNÉES FINANCIÈRES
Coût total de l'opération d'extension en investissements :
Financement de l'investissement :
Emprunt (en pourcentage) =
Fonds propres (en pourcentage) =
Coût total du fonctionnement en année pleine de la structure (avant l'extension) :
Coût total du fonctionnement en année pleine de l'extension :
Financement de la section sur dotation régionale :
Montant demandé sur l'enveloppe nationale :
TARIFICATION | |
---|---|
Prix de journée actuel | |
Après extension ou modification |
III. - ENCADREMENT
AVANT | APRES | |
---|---|---|
Ratio d'encadrement du service | ||
Ratio d'encadrement à proximité de la personne |
NATURE | NOMBRE EN ETP | |
---|---|---|
Administratifs | ||
Médicaux | ||
Paramédicaux | ||
Educatifs | ||
Enseignants (préciser si mis à disposition par l'éducation nationale) | ||
Assistante sociale | ||
Autres (préciser) |
IV. - PROJET DU SERVICE
A. - Objectifs généraux du projet
B. - Caractéristiques principales de la prise en charge sous l'angle
C. - Partenariats envisagés
D. - Ce projet est-il inscrit dans les priorités du schéma départemental ?
ANNEXE I e
modalités de répartition du contingent national
de places de ssiad (2)
1. Répartition de la moitié des places en fonction des besoins régionaux
1.1. Détermination des taux d'équipement régionaux :
Taux d'équipement = (places financées (3)/population régionale de 75 ans et plus (4)) 100.
1.2. Détermination des indicateurs de besoins :
Indicateur régional = population régionale de 75 ans et plus/taux d'équipement régional.
Indicateur national = somme des indicateurs régionaux.
1.3. Détermination du contingent régional :
Contingent régional = contingent national (indicateur régional/indicateur national).
2. Répartition de la moitié des places en fonction des écarts entre les taux d'équipement régionaux et le taux d'équipement national (cette répartition ne concerne que les régions dont le taux d'équipement est inférieur au taux d'équipement national).
2.1. Détermination des indicateurs de répartition :
Seules les régions dont le taux d'équipement est inférieur au taux d'équipement national sont concernées par cette répartition.
Indicateur régional = écart entre le taux d'équipement régional (inférieur au taux d'équipement national) et le taux d'équipement national.
Indicateur national = somme des indicateurs régionaux.
2.2. Détermination du contingent régional :
Contingent régional = contingent national (indicateur régional/indicateur national).
notification des mesures nouvelles de ssiad pour 2000
RÉGIONS/DOM | POPULATION au 01-01-2000 (75 ans et +) (source : INSEE) | PLACES installées (5) | TAUX d'équipement au 31-12-1999 (4) | TAUX d'équipement après répartition mesures nouvelles 2000 | ||
---|---|---|---|---|---|---|
RÉPARTITION mesures nouvelles | ||||||
Places | Crédits (3) | |||||
Alsace | 98 553 | 1 431 | 14,52 | 37 | 1 714 846 | 14,90 |
Aquitaine | 260 580 | 3 581 | 13,74 | 117 | 5 422621 | 14,19 |
Auvergne | 115 505 | 1 769 | 15,32 | 34 | 1 575 804 | 15,61 |
Bourgogne | 142 168 | 2 235 | 15,72 | 41 | 1 900 235 | 16,01 |
Bretagne | 229 212 | 4 233 | 18,47 | 57 | 2 641 790 | 18,72 |
Centre | 204 558 | 2 856 | 13,96 | 90 | 4 171 247 | 14,40 |
Champagne-Ardenne | 93 374 | 1 551 | 16,61 | 26 | 1 205 027 | 16,89 |
Corse | 21 551 | 201 | 9,33 | 0 | 0 | 9,33 |
Franche-Comté | 78 199 | 1 304 | 16,68 | 22 | 1 019 638 | 16,96 |
Ile-de-France | 586 720 | 7 654 | 13,05 | 258 | 11 957 575 | 13,49 |
Languedoc-Roussillon | 207 258 | 2 418 | 11,67 | 131 | 6 071 482 | 12,30 |
Limousin | 78 699 | 1 625 | 20,65 | 17 | 787 902 | 20,86 |
Lorraine | 146 325 | 2 248 | 15,36 | 43 | 1 992 929 | 15,66 |
Midi-Pyrénées | 230 309 | 3 727 | 16,18 | 65 | 3 012 567 | 16,46 |
Nord-Pas-de-Calais | 234 260 | 4 440 | 18,95 | 30 | 1 390 416 | 19,08 |
Basse-Normandie | 106 805 | 1 495 | 14,00 | 57 | 2 641 790 | 14,53 |
Haute-Normandie | 114 121 | 1 392 | 12,20 | 46 | 2 131 971 | 12,60 |
Pays de la Loire | 238 265 | 3 425 | 14,37 | 85 | 3 939 511 | 14,73 |
Picardie | 112 776 | 2 256 | 20,00 | 26 | 1 205 027 | 20,23 |
Poitou-Charente | 151 480 | 2 078 | 13,72 | 6 | 278 083 | 13,76 |
PACA | 395 841 | 4 532 | 11,45 | 262 | 12 142 964 | 12,11 |
Rhône-Alpes | 378 488 | 5 314 | 14,04 | 144 | 6 673 995 | 14,42 |
France métropolitaine (1) | 4 225 047 | 61 765 | 14,62 | 1 594 | 73 877 419 | 15,00 |
Martinique (2) | 18 720 | 186 | 9,94 | 6 | 278 083 | 10,26 |
Guyane (2) | 2 310 | 90 | 38,96 | 0 | 0 | 38,96 |
Guadeloupe (2) | 16 700 | 431 | 25,81 | 0 | 0 | 25,81 |
Réunion (2) | 15 200 | 244 | 16,05 | 0 | 0 | 16,05 |
France entière | 4 277 977 | 62 716 | 14,66 | 1 600 | 74 155 502 | 15,03 |
(1) Sources INSEE (Omphale) au 1er janvier 2000. (2) Sources INSEE (estimations) au 1er janvier 1997. (3) Crédits calculés selon la méthode forfait médian 365 jours 0,98 % (taux d'occupation) par (9/12). (4) Nombre de places financées pour mille personnes âgées de 75 ans et plus. (5) Places de SSIAD financées au 31 décembre 1999 (source : enquête DAS auprès des DDASS de mai 1999). |
ANNEXE I ter
Personne chargée du dossier :
Téléphone :
Région :
Département :
Tableaux à transmettre le 30 avril 2000 et le 31 décembre 2000 (1)
Programme départemental prévisionnel de financement des places de SSIAD
OPERATIONS DONT LE FINANCEMENT EST INTERVENU OU INTERVIENDRA EN 2000 Services Date d'autorisation des places Places financées sur : Places restant à financer Capacité totale autorisée du SSIAD Enveloppe Redéploiement | |||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|
Déconcentrée | Nationale | du médico- social | du sanitaire | ||||
à mentionner dans le cadre des opérations restant à financer | |||||||
Total | |||||||
OPÉRATIONS QUI RESTERONT À FINANCER PAR ORDRE DE PRIORITÉ | |||||||
Total | |||||||
(1) La situation qui sera mentionnée au 31 décembre 2000 sera le bilan de l'année. |
ANNEXE I f
Mesures nouvelles pour les personnes âgées
hébergées en établissement
La loi de financement de la sécurité sociale pour 2000 comprend notamment des mesures nouvelles d'accompagnement de la mise en oeuvre de la réforme de la tarification.
I. - CES MESURES NOUVELLES SONT DESTINÉES
D'une part à apurer le financement des sections de cure médicale (SCM) autorisées avant le 1er janvier 1997 et jusqu'à présent sans base budgétaire.
D'autre part à amorcer le financement des « effets mécaniques » de la réforme de la tarification des établissements hébergeant des personnes âgées dépendantes (EHPAD).
Il y a lieu à cet égard de distinguer l'« effet mécanique » de la réforme et la convergence tarifaire.
1. « L'effet mécanique » de la réforme
Il convient d'appeler effet « mécanique » de la réforme la variation d'enveloppe qui résulte automatiquement du passage des anciennes règles de calcul aux nouvelles, toutes choses égales par ailleurs (donc à charges totales inchangées). Il résulte du seul mécanisme comptable et précède toute réflexion sur l'évolution des moyens de l'établissement.
Pour l'assurance maladie, trois cas peuvent se présenter lorsqu'on compare, à moyens globaux constants, la nouvelle présentation ternaire à l'ancienne.
a) Soit le total des charges de la section soins calculé selon les nouvelles imputations (notamment avec la répartition 70/30 des aides-soignants et AMP) est supérieur au produit des forfaits (5). Dans ce cas, l'enveloppe d'assurance maladie devra être portée dès le premier exercice de la convention à hauteur des charges réelles de la section soins. L'enveloppe de mesures nouvelles 2000 est d'abord destinée à ces rééquilibrages.
b) Soit le total des charges est inférieur au produit des forfaits mais l'établissement a droit au bénéfice du « cliquet anti-retour ». Dans ce cas, le niveau de l'enveloppe assurance maladie est maintenu à un niveau supérieur à celui des charges de soins.
c) Soit le total des charges est inférieur au produit des forfaits et les conditions du « cliquet anti-retour » ne sont pas réunies. Il peut alors y avoir diminution de l'enveloppe de l'assurance maladie. Dans ce cas, cette diminution ne sera pas automatique et pourra être étalée sur plusieurs exercices pour en lisser l'effet, dans le cadre de l'examen global que vous pourrez faire de la situation de l'établissement.
Pour l'année 2000, la part des soins de ville intégrés dans les tarifs soins, selon l'option globale ou partielle choisie par les établissements, est prise en compte de façon prévisionnelle à hauteur de 224 MF dans l'enveloppe « personnes âgées » pour la mise en oeuvre de la réforme de la tarification. Les transferts constatés à ce titre entre l'enveloppe « soins de ville » et l'enveloppe médico-sociale devront faire l'objet d'un suivi attentif dans le cadre de l'application ANGELE dont les modalités vous seront précisées prochainement par circulaire.
Lorsque vous constaterez des niveaux de dépenses de soins de ville trop élevés ou trop bas au regard des éléments d'appréciation disponibles, vous ajusterez en conséquence l'enveloppe avant de la transférer.
2. La convergence tarifaire
Alors que le réajustement mécanique de l'enveloppe doit être effectué dès le premier exercice, comme il vient d'être indiqué, l'évolution des moyens des établissements en référence à leurs missions en vue d'harmoniser l'allocation des moyens de l'assurance maladie en fonction de l'état des personnes doit faire l'objet de programmations pluriannuelles :
Ce cadrage d'ensemble au niveau départemental est un préalable logique à l'inscription dans des conventions tripartites d'évolutions d'enveloppe pour les années 2001 et suivantes. En l'absence d'un tel cadrage d'ensemble, les conventions que vous signerez au cours de la première partie de 2000 ne pourront pas comporter d'engagements pluriannuels d'augmentations de moyens qui se révèleraient le moment venu incohérents avec le cadrage général.
Nous vous invitons donc à vous limiter dans cette première vague :
II. - RAPPEL DE LA SITUATION JURIDIQUE CREEE PAR LA LOI DU 24 JANVIER 1997 ET LES DECRETS DU 26 avril 1999
Seules les créations ou extensions de section de cure médicale autorisées avant la date d'entrée en vigueur de la loi, c'est à dire avant le 1er janvier 1997, peuvent faire l'objet d'un financement au titre de l'apurement définitif prévu par l'article 23-V de la loi du 24 janvier 1997.
III. - PRINCIPES ET MODALITÉS DE RÉPARTITION
DES DOTATIONS NOUVELLES
1. Un objectif majeur de la réforme de la tarification est d'allouer les ressources de l'assurance maladie en fonction de l'état de dépendance des personnes âgées et non plus en fonction du statut de l'établissement, en améliorant prioritairement les situations qui le justifient le plus.
La réforme a aussi pour effet de corriger progressivement les inégalités de dotations que ne justifieraient ni l'état des personnes ni aucune circonstance particulière.
C'est pourquoi les modalités de répartition des crédits de mesures nouvelles sont différenciées suivant qu'il s'agit d'apurer les sections de cure médicale autorisées avant le 1er janvier 1997 ou, qu'il s'agit de financer les effets de la réforme de la tarification.
2. Les crédits afférents à l'apurement du financement des places de sections de cure médicale autorisées avant le 1er janvier 1997 vous sont immédiatement notifiés.
Vous trouverez en annexe 1 f bis le tableau de répartition des mesures de SCM pour 2000.
Ces crédits doivent être alloués aux seuls établissements titulaires d'une autorisation de création ou d'extension sans base budgétaire avant le 1er janvier 1997 dans les conditions énoncées au IV ci-après.
Les places qui auraient été autorisées sur dossiers de demande de création ou d'extension déclarés complets entre la promulgation de la loi et le 1er avril 1997, ne peuvent en aucune façon bénéficier de l'enveloppe d'apurement. Les établissements bénéficiaires de ces autorisations postérieures au 31 décembre 1996 devront entrer directement dans le cadre commun de la nouvelle tarification.
3. L'abondement des dotations régionales en mesures nouvelles destinées à financer les effets mécaniques de la réforme n'interviendra qu'ultérieurement au regard de leur chiffrage et de l'analyse des propositions.
L'enveloppe correspondante est réservée au niveau national qui déléguera les crédits au regard :
En effet, l'effort de rééquilibrages inter-régionaux doit être poursuivi ; Les régions dont le taux de médicalisation au regard de la population âgée de quatre-vingt cinq ans et plus se situe en dessous de la moyenne nationale, bénéficieront prioritairement du relèvement des moyens de l'assurance maladie.
IV. - PRINCIPES ET MODALITÉS D'ATTRIBUTION DES MESURES
NOUVELLES AUX ÉTABLISSEMENTS
La circulaire MARTHE-DAS-DH-DSS n° 99-578 du 14 octobre 1999 vous a indiqué les principales mesures à prendre au titre de la campagne budgétaire de l'exercice 2000. Les termes en restent valides, sous bénéfice des précisions apportées par la présente.
La notification des crédits afférents à l'apurement des places de sections de cure médicale, avec effet au 1er avril 2000, vous donne, sauf difficulté particulière, un délai suffisant pour permettre la mise en place effective de la nouvelle tarification par anticipation totale ou partielle au cours de l'exercice 2000 dans les conditions précisées par la circulaire du 14 octobre 1999 précitée.
Les établissements déjà médicalisés et pour lesquels les places nouvelles complètent cette médicalisation devront normalement opter pour le tarif journalier global. Vous nous signalerez toute difficulté particulière résultant d'un souhait différent de l'établissement.
Les établissements non médicalisés et pour lesquels l'attribution de places nouvelles consacre la médicalisation pourront opter :
D'ores et déjà les DRASS feront remonter le tableau de synthèse régionale relatif aux projets de conventions 2000 prévu par la circulaire précitée du 14 octobre 1999 joint en annexe 1 f ter qui vous a été adressé par messagerie.
ANNEXE I f bis
Modalités de répartition des crédits
d'apurement des places de SCM
autorisées et sans base budgétaire
La répartition des crédits d'apurement des places autorisées au 1er janvier 1997 et non financées est réalisée les modalités ci-après :
Pour les départements présentant un taux de médicalisation inférieur à 230/000 P.A. de 85 ans et plus. Les crédits sont notifiés pour l'ensemble des places sur 9 mois.
Pour les départements présentant un taux de médicalisation supérieur à 230/000 P.A. de 85 ans et plus. Un tiers des places autorisées non financées a été pris en compte sur 9 mois.
DÉPARTEMENTS et régions | POPULATION 85 ans et + au 01-01-2000 (1) | PLACES installées (2) | TAUX d'équipement (3) | TAUX d'équipement après répartition Mesures nouvelles 2000 | ||
---|---|---|---|---|---|---|
RÉPARTITION mesures nouvelles | ||||||
Places | Crédits (4) | |||||
Bas-Rhin | 15 899 | 4 585 | 288,38 | 66 | 2 936 388 | 292,53 |
Haut-Rhin | 11 278 | 3 631 | 321,95 | 0 | 0 | 321,95 |
Alsace | 27 177 | 8 216 | 302,31 | 66 | 2 936 388 | 304,74 |
Dordogne | 12 869 | 2 518 | 195,66 | 40 | 1 779 629 | 198,77 |
Gironde | 28 661 | 3 720 | 129,79 | 0 | 0 | 129,79 |
Landes | 9 236 | 1 828 | 197,92 | 47 | 2 091 064 | 203,01 |
Lot-et-Garonne | 9 301 | 1 545 | 166,11 | 0 | 0 | 166,11 |
Pyrénées-Atlantiques | 11 741 | 2 414 | 205,60 | 19 | 845 324 | 207,22 |
Aquitaine | 71 808 | 12 025 | 167,46 | 106 | 4 716 017 | 168,94 |
Allier | 10 803 | 2 990 | 276,77 | 16 | 711 852 | 278,26 |
Cantal | 4 526 | 1 258 | 277,95 | 7 | 311 435 | 279,50 |
Haute-Loire | 5 475 | 1 709 | 312,15 | 0 | 0 | 312,15 |
Puy-de-Dôme | 13 024 | 3 379 | 259,44 | 65 | 2 891 897 | 264,43 |
Auvergne | 33 828 | 9 336 | 275,98 | 88 | 3 915 184 | 278,59 |
Côte-d'Or | 11 746 | 2 582 | 219,82 | 117 | 5 205 415 | 229,78 |
Nièvre | 7 387 | 1 819 | 246,24 | 16 | 711 852 | 248,41 |
Saône-et-Loire | 15 252 | 2 736 | 179,39 | 0 | 0 | 179,39 |
Yonne | 8 986 | 1 960 | 218,12 | 95 | 4 226 619 | 228,69 |
Bourgogne | 43 371 | 9 097 | 209,75 | 228 | 10 143 886 | 215,01 |
Côtes-d'Armor | 13 413 | 3 210 | 239,32 | 0 | 0 | 239,32 |
Finistère | 19 244 | 5 283 | 274,53 | 162 | 7 207 498 | 282,95 |
Ille-et-Vilaine | 15 241 | 3 943 | 258,71 | 42 | 1 868 610 | 261,47 |
Morbihan | 12 829 | 3 255 | 253,72 | 0 | 0 | 253,72 |
Bretagne | 60 727 | 15 691 | 258,39 | 204 | 9 076 108 | 261,75 |
Cher | 8 936 | 2 016 | 225,60 | 182 | 8 097 312 | 245,97 |
Eure-et-Loir | 8 892 | 2 091 | 235,16 | 39 | 1 735 138 | 239,54 |
Indre | 7 926 | 1 674 | 211,20 | 26 | 1 156 759 | 214,48 |
Indre-et-Loire | 14 415 | 3 075 | 213,32 | 7 | 311 435 | 213,81 |
Loir-et-Cher | 9 472 | 2 252 | 237,75 | 0 | 0 | 237,75 |
Loiret | 13 798 | 2 585 | 187,35 | 229 | 10 188 376 | 203,94 |
Centre | 63 439 | 13 693 | 215,85 | 483 | 21 489 021 | 223,46 |
Ardennes | 5 467 | 1 328 | 242,91 | 0 | 0 | 242,91 |
Aube | 6 800 | 1 259 | 185,15 | 3 | 133 472 | 185,59 |
Marne | 10 514 | 2 412 | 229,41 | 0 | 0 | 229,41 |
Haute-Marne | 4 789 | 1 071 | 223,64 | 0 | 0 | 223,64 |
Champagne-Ardenne | 27 570 | 6 070 | 220,17 | 3 | 133 472 | 220,28 |
Corse-du-Sud | 2 654 | 265 | 99,85 | 0 | 0 | 99,85 |
Haute-Corse | 3 229 | 437 | 135,34 | 0 | 0 | 135,34 |
Corse | 5 883 | 702 | 119,33 | 0 | 0 | 119,33 |
Doubs | 8 586 | 1 768 | 205,92 | 0 | 0 | 205,92 |
Jura | 6 407 | 1 270 | 198,22 | 10 | 444 907 | 199,78 |
Haute-Saône | 5 251 | 1 090 | 207,58 | 53 | 2 358 008 | 217,67 |
Territoire de Belfort | 2 501 | 702 | 280,69 | 19 | 845 324 | 288,28 |
Franche-Comté | 22 745 | 4 830 | 212,35 | 82 | 3 648 240 | 215,96 |
Paris | 53 672 | 9 469 | 176,42 | 60 | 2 669 444 | 177,54 |
Seine-et-Marne | 16 454 | 3 223 | 195,88 | 225 | 10 010 413 | 209,55 |
Yvelines | 19 654 | 4 200 | 213,70 | 15 | 667 361 | 214,46 |
Essonne | 16 395 | 2 142 | 130,65 | 161 | 7 163 007 | 140,47 |
Hauts-de-Seine | 27 788 | 3 739 | 134,55 | 166 | 7 385 461 | 140,53 |
Seine-Saint-Denis | 17 239 | 1 837 | 106,56 | 37 | 1 646 157 | 108,71 |
Val-de-Marne | 21 742 | 2 304 | 105,97 | 35 | 1 557 175 | 107,58 |
Val-d'Oise | 13 726 | 2 489 | 181,33 | 80 | 3 559 258 | 187,16 |
Ile-de-France | 186 670 | 29 403 | 157,51 | 779 | 34 658 276 | 161,69 |
Aude | 9 718 | 1 400 | 144,06 | 0 | 0 | 144,06 |
Gard | 14 332 | 2 582 | 180,16 | 0 | 0 | 180,16 |
Hérault | 20 048 | 3 579 | 178,52 | 26 | 1 156 759 | 179,82 |
Lozère | 2 354 | 718 | 305,01 | 4 | 177 963 | 306,71 |
Pyrénées-Orientales | 11 741 | 1 684 | 143,43 | 18 | 800 833 | 144,96 |
Languedoc-Roussillon | 58 193 | 9 963 | 171,21 | 48 | 2 135 555 | 172,03 |
Corrèze | 7 976 | 2 023 | 253,64 | 0 | 0 | 253,64 |
Creuse | 5 314 | 1 278 | 240,50 | 8 | 355 926 | 242,00 |
Haute-Vienne | 11 299 | 2 383 | 210,90 | 40 | 1 779 629 | 214,44 |
Limousin | 24 589 | 5 684 | 231,16 | 48 | 2 135 555 | 233,11 |
Meurthe-et-Moselle | 12 826 | 2 799 | 218,23 | 40 | 1 779 629 | 221,35 |
Meuse | 4 382 | 1 048 | 239,16 | 8 | 355 926 | 240,99 |
Moselle | 13 711 | 2 154 | 157,10 | 233 | 10 366 339 | 174,09 |
Vosges | 8 474 | 1 988 | 234,60 | 18 | 800 833 | 236,72 |
Lorraine | 39 393 | 7 989 | 202,80 | 299 | 13 302 727 | 210,39 |
Ariège | 4 812 | 808 | 167,91 | 0 | 0 | 167,91 |
Aveyron | 9 621 | 1 947 | 202,37 | 0 | 0 | 202,37 |
Haute-Garonne | 20 946 | 2 744 | 131,00 | 0 | 0 | 131,00 |
Gers | 6 268 | 1 043 | 166,40 | 0 | 0 | 166,40 |
Lot | 5 593 | 1 034 | 184,87 | 0 | 0 | 184,87 |
Hautes-Pyrénées | 6 848 | 1 490 | 217,58 | 4 | 177 963 | 218,17 |
Tarn | 11 016 | 1 817 | 164,94 | 0 | 0 | 164,94 |
Tarn-et-Garonne | 5 943 | 1 103 | 185,60 | 0 | 0 | 185,60 |
Midi-Pyrénées | 71 047 | 11 986 | 168,71 | 4 | 177 963 | 168,76 |
Nord | 38 502 | 7 243 | 188,12 | 0 | 0 | 188,12 |
Pas-de-Calais | 22 482 | 4 033 | 179,39 | 0 | 0 | 179,39 |
Nord-Pas-de-Calais | 60 984 | 11 276 | 184,90 | 0 | 0 | 184,90 |
Calvados | 12 034 | 2 168 | 180,16 | 0 | 0 | 180,16 |
Manche | 10 221 | 2 128 | 208,20 | 51 | 2 269 027 | 213,19 |
Orne | 7 051 | 1 686 | 239,12 | 21 | 934 305 | 242,09 |
Basse-Normandie | 29 306 | 5 982 | 204,12 | 72 | 3 203 332 | 206,58 |
Eure | 8 990 | 2 074 | 230,70 | 0 | 0 | 230,70 |
Seine-Maritime | 22 783 | 5 110 | 224,29 | 71 | 3 158 842 | 227,41 |
Haute-Normandie | 31 773 | 7 184 | 226,10 | 71 | 3 158 842 | 228,34 |
Loire-Atlantique | 21 056 | 4 936 | 234,42 | 132 | 5 872 776 | 240,69 |
Maine-et-Loire | 16 551 | 2 993 | 180,83 | 426 | 18 953 049 | 206,57 |
Mayenne | 7 157 | 2 028 | 283,36 | 52 | 2 313 518 | 290,62 |
Sarthe | 13 188 | 2 918 | 221,26 | 8 | 355 926 | 221,87 |
Vendée | 12 681 | 2 593 | 204,48 | 236 | 10 499 811 | 223,09 |
Pays de la Loire | 70 633 | 15 468 | 218,99 | 854 | 37 995 080 | 231,08 |
Aisne | 9 352 | 2 048 | 218,99 | 22 | 978 796 | 221,34 |
Oise | 10 949 | 2 295 | 209,61 | 0 | 0 | 209,61 |
Somme | 9 928 | 2 189 | 220,49 | 22 | 978 796 | 222,70 |
Picardie | 30 229 | 6 532 | 216,08 | 44 | 1 957 592 | 217,54 |
Charente | 9 762 | 1 702 | 174,35 | 0 | 0 | 174,35 |
Charente-Maritime | 15 977 | 2 061 | 129,00 | 0 | 0 | 129,00 |
Deux-Sèvres | 9 811 | 1 780 | 181,43 | 0 | 0 | 181,43 |
Vienne | 11 068 | 1 854 | 167,51 | 0 | 0 | 167,51 |
Poitou-Charentes | 46 618 | 7 397 | 158,67 | 0 | 0 | 158,67 |
Alpes-de-Haute-Provence | 3 805 | 882 | 231,80 | 0 | 0 | 231,80 |
Hautes-Alpes | 3 078 | 613 | 199,16 | 4 | 177 963 | 200,45 |
Alpes-Maritimes | 35 387 | 3 654 | 103,26 | 0 | 0 | 103,26 |
Bouches-du-Rhône | 36 503 | 3 773 | 103,36 | 0 | 0 | 103,36 |
Var | 23 159 | 2 684 | 115,89 | 7 | 311 435 | 116,20 |
Vaucluse | 10 894 | 1 629 | 149,53 | 22 | 978 796 | 151,55 |
PACA | 112 826 | 13 235 | 117,30 | 33 | 1 468 194 | 117,60 |
Ain | 9 755 | 2 535 | 259,87 | 30 | 1 334 722 | 262,94 |
Ardèche | 8 190 | 2 464 | 300,85 | 28 | 1 245 740 | 304,27 |
Drôme | 10 071 | 2 209 | 219,34 | 0 | 0 | 219,34 |
Isère | 19 038 | 4 871 | 255,86 | 42 | 1 868 610 | 258,06 |
Loire | 17 903 | 4 549 | 254,09 | 30 | 1 334 722 | 255,77 |
Rhône | 30 230 | 6 314 | 208,87 | 119 | 5 294 396 | 212,80 |
Savoie | 7 676 | 2 204 | 287,13 | 0 | 0 | 287,13 |
Haute-Savoie | 9 849 | 2 133 | 216,57 | 0 | 0 | 216,57 |
Rhône-Alpes | 112 712 | 27 279 | 242,02 | 249 | 11 078 191 | 244,23 |
France métropolitaine | 1 231 521 | 239 038 | 194,10 | 3 761 | 167 329 620 | 197,15 |
Martinique | 499 | 2 | 88 981 | |||
Guyane | 110 | 0 | 0 | |||
Guadeloupe | 709 | 0 | 0 | |||
Réunion | 540 | 0 | 0 | |||
DOM | 1 858 | 2 | 88 981 | |||
France entière | 240 896 | 3 763 | 167 418 602 | |||
(1) Sources INSEE (Omphale) au 1er janvier 2000. (2) Places de SCM installées et financées au 31 décembre 1999 (sources : enquête DAS auprès des DDASS de mai 1999 et SSLD financées au 31 décembre 1997, source DRESS-SAE). (3) Nombre de places financées pour 1 000 personnes âgées de 85 ans et plus (SCM et SSLD). (4) Crédits calculés selon la méthode forfait médian * 365 jours * 0,98 (taux d'occupation) * (9/12) pour les SCM. |
ANNEXE I f ter
TABLEAU DE SYNTHÈSE RELATIF AUX PROJETS DE CONVENTIONS 2000
Région :
N° FINESS | N° Strate | CAPACITÉ BUDGÉTÉE DE L'ÉTABLISSEMENT pour l'exercice 2000 | données concernant l'exercice 1999 | ||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Nom de l'établissement | Nombre total de lits ou places (1) | Nombre de places SCM (8) | Nombre de places FSC (8) | Nombre de journées réalisées 1999 | Nombre de postes ETP d'aide-soignants et d'AMP 1999 (2) | Intention de l'établissement en matière de droit d'option tarifaire (3) | Montant total des produits : prix de journée hébergement | Forfaits assurance maladie (PRAM 99) (4) | Montant des crédits non budgétés en 1999 (9) | ||
(1) Dans le cas d'un service de soins de longue durée, le nombre de places équivaut au nombre de forfaits (FSLD) attribués, les deux items suivants n'étant pas renseignés. (2) Il s'agit des personnes diplômés ou en cours de formation dans une école agréée. (3) Mettre 0 pour tarif partiel et 1 pour tarif global. (4) Prendre les forfaits actualisés et l'incidence en année pleine des créations de nouvelles places médicalisées. (5) Le calcul doit être effectué en faisant jouer l'intégralité des clés de répartition des charges afférentes à cette section, sans donc appliquer le « cliquet » prévu à l'article 30 du décret n° 99-316. (6) Forfaits assurance maladie 1999 majorés du taux d'évolution 2000. Prendre en compte l'incidence en année pleine des créations en 1999 de nouvelles places médicalisées. (7) Si une des conditions du « clapet » est constatée, il y a maintien du montant des forfaits assurance maladie de 1999. (8) Places autorisées et financées. (9) Indiquez les montants des autorisations 99 et des extensions en année pleine qui n'ont pas été budgété en 1999 mais qui le seront en 2000. |
charges nettes en voie d'approbation à moyens constants en 2000 par section (nouvelle tarification) | charges nettes en voie d'approbation avec évolution de moyens en 2000 par section (nouvelle tarification) | |||||
---|---|---|---|---|---|---|
Hébergement | Dépendance | Soins hors infirmiers libéraux et autres soins de ville (5) | Hébergement | Dépendance | Soins hors infirmiers libéraux et autres soins de ville (5) | |
EFFET MECANIQUE de la réforme sans clapet | EFFET mesures nouvelles-médica- lisation- qualité | TRANSFERTS du budget principal hospitalier vers section soins des budgets annexes | AUTRES transferts enveloppe sanitaire ou médico-social | NOUVELLE base de référence 2000 | EFFET net à moyens constants | EFFET net avec moyens nouveaux | GMP | RATIO aides-soignantes AMP | DGF soins si effet clapet antiretour (7) | MONTANT des « soins de ville » relevant du tarif partiel | MONTANT des « soins de ville » relevant du tarif global | FINANCEMENT de la convention par les crédits relatifs à l'enveloppe de places de SCM 2000 0 0 0 0 0 DIV/0! 0 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
ANNEXE II
La gestion des enveloppes de crédits de reconduction
Les tableaux 2 a ci-après retracent, comme les années précédentes, la récapitulation finale de la gestion 1999, et la composition de la base initiale de calcul des crédits pour l'année 2000.
Les tableaux 2 b notifient les enveloppes régionales de l'année 2000, selon la définition ancienne des enveloppes au sens de PAGE : sur la base initiale ci-dessus est appliqué le taux de reconduction, puis un transfert avec une enveloppe sous objectif quantifié national, l'intégration des frais de siège décidée pour les établissements gérés par les UGECAM, enfin l'incidence en année pleine des mesures nouvelles financées partiellement en 1999. Le total constitue la base régionale reconductible de l'année 2000, auquel s'ajoute en crédit non reconductible, la dotation de 8 MF qui a été accordée en 1999 pour la création d'emplois jeunes.
Les tableaux 2 c présentent, à titre préparatoire, l'allocation équivalente de dépenses à la charge de l'assurance maladie pour l'année 2000.
Ces montants nouveaux ont été calculés en prenant acte des chiffres produits par les services déconcentrés en 1999, qui reposaient sur les documents budgétaires et tarifaires de l'année passée. Ils reflètent donc strictement les montants engagés lors de cette tarification.
De nombreux services ont fait justement remarquer qu'il existe parfois un décalage significatif entre la prévision de dépenses (c'est-à-dire les enveloppes définies au sens de PAGE) et sa réalisation (appelée à être prise en compte par GEODE), ceci ayant dans le champ médico-social très souvent pour origine la suractivité des établissements, elle-même liée majoritairement à l'insuffisance de places ou à l'engorgement des structures de débouché.
Aussi est-il bien entendu que les montants indiqués dans les tableaux 2 c seront réexaminés dans le courant de l'année 2000, en fonction des résultats constatés aux derniers comptes administratifs connus, c'est-à-dire les comptes administratifs de l'année 1998, dont la synthèse a été demandée aux DRASS pour le 1er novembre 1999, selon les normes des années passées : en fonction de ces résultats, le décalage moyen entre les enveloppes au sens de PAGE et les dépenses à la charge de l'assurance maladie effectivement constaté permettra le réexamen des dotations d'assurance maladie initiales ci-dessus.
Le second impact de la nouvelle définition des dotations tient au fait que, reposant sur les paiements attendus des organismes de protection sociale, elle est directement fonction du calcul du tarif fait par les préfets selon les dispositions réglementaires, c'est-à-dire qu'elle tient compte de la reprise des résultats de l'année N-2. Or le sens positif ou négatif de ce résultat aura une incidence certaine sur le besoin de financement.
Mais d'une part, les informations ci-dessus transmises par les DRASS, reproduisaient elles-mêmes déjà l'impact de la tarification 1999 qui incluait cet effet de reprise des résultats antérieurs. D'autre part, ce point n'a pas lieu d'inquiéter car depuis deux exercices, les résultats cumulés nationalement ne font pas apparaître de déséquilibre justifiant un abondement de crédits : au plan national, voire au plan régional, le cumul des résultats prochainement inclus dans les dotations, n'appelle pas de correctif.
Il n'en reste pas moins que localement, les situations peuvent être hétérogènes et appeler l'intervention soit de quelques région pour allouer des crédits différenciés entre les départements, soit des départements pour tenir compte des situations inégales des différents établissements : les enveloppes actuelles puis les dotations permettent d'y pourvoir.
Pour le moyen terme néanmoins, il sera important que désormais les services déconcentrés et les services centraux veillent à l'évolution de la situation financière globale des établissements et à l'allocation équitable des financements de l'assurance maladie selon les résultats constatés à la clôture des exercices budgétaires, ce que le logiciel GEODE identifie.
Dans le courant de l'année, le service de l'application GEODE simplifiera la transmission synthétique des chiffres entre départements, régions et administration centrale. Néanmoins, pour préparer dès maintenant la bonne collecte des informations, il importe encore que les tableaux figurant en annexe 2 d (équivalence entre les enveloppes au sens de PAGE et les dotations au sens de GEODE pour les structures ouvertes), en annexe 2 e (prévision d'équivalence pour les structures en instance d'ouverture et dont le financement a été notifié) et en annexe 2 f (récapitulatif des dotations au sens de GEODE) soient remplis et transmis à la DAS bureau TS2 pour le 1er juin 2000.
Enfin, afin de préparer la gestion de l'année 2001, l'identification des transferts entre dotations et sous-dotations, dont il sera acquis qu'elles entreront en vigueur avant le 31 décembre 2000 seront transmis avant le 1er septembre 2000 et pour des montants identiques, à la direction des Hôpitaux et à la direction de l'Action sociale, sous le double timbre selon les situations, de l'agence régionale de l'hospitalisation ou des caisses régionales d'assurance maladie (tableaux 2 g).
Bilan des enveloppes 1999
Sous-enveloppe n° 3. - Médico-sociale/Personnes âgées
RÉGION/DOM | ENVELOPPE notifiée le 17-11-1999 | SOLDE des transferts avec le sanitaire | TRANSFERT MN 1999 vers CRAM | SOLDE DES MVTS avec les CRAM pour les SCM | SOLDE DES MVTS avec les CRAM pour les SSIAD | SOLDE DES MVTS entre PA et PH | APPORT SSIAD venant d'autres régimes (minier) | MESURES NOUVELLES 1999 ENVELOPPE fin 1999 | ||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
SSIAD | SCM | |||||||||
Alsace | 374 442 442 | - 351 077 | - 195 000 | 0 | 0 | - 74 237 | 1 808 602 | 3 443 176 | 379 073 906 | |
Aquitaine | 881 264 698 | - 1 969 616 | - 2 403 639 | 0 | 0 | 0 | 4 463 163 | 7 284 736 | 888 639 342 | |
Auvergne | 530 374 320 | - 5 612 856 | 0 | 0 | 0 | 0 | 232 000 | 1 458 550 | 5 634 288 | 532 086 302 |
Bourgogne | 507 219 267 | 0 | - 1 122 350 | 0 | 0 | 0 | 2 304 509 | 7 284 736 | 515 686 162 | |
Bretagne | 909 878 084 | 13 112 767 | - 773 674 | 2 361 365 | 0 | - 678 083 | 2 100 312 | 10 528 720 | 936 529 491 | |
Centre | 769 747 732 | 0 | - 1 656 759 | 0 | 0 | 0 | 2 946 271 | 10 699 456 | 781 736 700 | |
Champagne-Ardenne | 358 116 156 | - 184 964 | 0 | - 1 626 695 | 0 | - 271 143 | 816 788 | 1 991 920 | 358 842 062 | |
Corse | 35 546 773 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 291 710 | 2 361 848 | 38 200 331 | |
Franche-Comté | 267 744 196 | 630 000 | 0 | 0 | 0 | 0 | 962 643 | 4 353 768 | 273 690 607 | |
Ile-de-France | 1 665 850 451 | - 740 530 | 0 | - 17 993 530 | 0 | 0 | 9 393 062 | 41 972 600 | 1 698 482 053 | |
Languedoc-Roussillon | 601 821 361 | 1 286 161 | - 3 389 846 | 0 | 875 750 | - 22 568 | 2 567 048 | 8 963 640 | 612 101 546 | |
Limousin | 301 146 107 | 279 360 | 0 | - 1 319 442 | 0 | 0 | 320 881 | 3 187 072 | 303 613 978 | |
Lorraine | 595 909 365 | 758 047 | - 647 097 | 79 000 | 0 | 0 | 1 254 353 | 6 914 808 | 604 268 476 | |
Midi-Pyrénées | 782 427 693 | 981 054 | - 5 413 484 | - 2 924 469 | 0 | 423 928 | 2 012 799 | 15 366 240 | 792 873 761 | |
Nord-Pas-de-Calais | 714 268 026 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 16 597 000 | 2 625 390 | 8 622 168 | 742 112 584 |
Basse-Normandie | 352 071 933 | 28200 | - 1 590 858 | 0 | 0 | 0 | 904 301 | 5 605 832 | 357 019 408 | |
Haute-Normandie | 393 555 006 | - 1 317 547 | - 3 079 081 | 0 | 0 | 0 | 1 283 524 | 6 231 864 | 396 673 766 | |
Pays de la Loire | 930 761 455 | 1 743 796 | - 284 556 | 567 063 | 0 | 0 | 2 975 442 | 10 414 896 | 946 178 096 | |
Picardie | 357 167 162 | - 2 029 452 | 0 | - 1 052 532 | 0 | 0 | 1 633 576 | 5 918 848 | 361 637 602 | |
Poitou-Charentes | 429 628 876 | 0 | - 2 719 780 | 140 000 | 0 | 0 | 758 446 | 4 325 312 | 432 132 854 | |
Provence-Alpes-Côte d'Azur | 873 656 561 | - 933 013 | 0 | - 950 599 | 0 | 0 | 7 526 118 | 5 947 304 | 885 246 371 | |
Rhône-Alpes | 1 417 630 431 | - 1 469 878 | - 183 220 | 0 | 0 | - 966 947 | 5 834 200 | 18 041 104 | 1 438 885 690 | |
Guadeloupe | 43 677 106 | 0 | 0 | 0 | 0 | 291 710 | 1 308 976 | 45 277 792 | ||
Martinique | 48 274 227 | 0 | 0 | 0 | 0 | 583 420 | 569 120 | 49 426 767 | ||
Guyane | 8 032 176 | 0 | 0 | 0 | 0 | 291 710 | 284 560 | 8 608 446 | ||
Réunion | 63 474 564 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 583 420 | 1 138 240 | 65 196 224 | |
Total | 14 213 686 169 | 4 210 452 | - 23 459 344 | - 22 719 839 | 875 750 | - 1 589 050 | 16 829 000 | 57 991 948 | 198 395 232 | 14 444 220 318 |
Sous-enveloppe n° 4. - Médico-sociale/Handicap
RÉGION/DOM | ENVELOPPE notifiée le 17-11-1999 | MESURES NOUVELLES 1999 | SOLDES DES mouvements entre PH et PA | TRANSFERT avec l'OQN | SOLDE des transferts avec le sanitaire | ENVELOPPE fin 1999 | |||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
PPH | Autisme | CAMPS | SESSAD | ||||||
Alsace | 821 149 431 | 5 441 100 | 868 682 | 0 | 425 637 | 74 237 | 4 347 216 | 832 306 303 | |
Aquitaine | 1 703 506 864 | 4 268 300 | 2 828 384 | 0 | 1 200 000 | 0 | 732 050 | 1 712 535 598 | |
Auvergne | 728 472 431 | 731 850 | 0 | 840 000 | 130 000 | 0 | 14 129 757 | 744 304 038 | |
Bourgogne | 718 048 829 | 1 150 050 | 940 900 | 0 | 1 027 500 | 0 | 303 000 | 721 470 279 | |
Bretagne | 1 354 818 537 | 1 986 450 | 1 840 865 | 0 | 0 | 678 083 | 2 650 000 | 54 969 975 | 1 416 943 910 |
Centre | 1 320 371 475 | 1 986 450 | 2 680 000 | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 325 037 925 | |
Champagne-Ardennes | 795 526 836 | 836 400 | 1 545 000 | 0 | 0 | 271 143 | 0 | 798 179 379 | |
Corse | 107 607 980 | 209 100 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 107 817 080 | |
Franche-Comté | 788 760 549 | 1 359 150 | 232 500 | 1 236 000 | 0 | 0 | 0 | 791 588 199 | |
Ile-de-France | 4 636 282 155 | 47 588 400 | 6 470 000 | 1 610 000 | 1 514 500 | 0 | 20 000 000 | 4 713 465 055 | |
Languedoc-Roussillon | 1 337 610 102 | 1 254 600 | 3 115 000 | 0 | 0 | 22 568 | 11 498 165 | 39 174 385 | 1 392 674 820 |
Limousin | 598 870 189 | 209 100 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 599 079 289 | |
Lorraine | 1 223 792 711 | 2 300 100 | 1 440 096 | 550 000 | 0 | 0 | 5 786 097 | 1 233 869 004 | |
Midi-Pyrénées | 2 074 773 227 | 2 509 200 | 1 330 000 | 1 000 000 | 0 | - 423 928 | 30 649 431 | 2 109 837 930 | |
Nord-Pas-de-Calais | 2 157 796 642 | 10 309 450 | 1 670 001 | 750 000 | 1 525 000 | 0 | 0 | 2 172 051 093 | |
Basse-Normandie | 1 078 036 939 | 731 850 | 0 | 1 000 000 | 0 | 0 | 2 474 746 | 1 082 243 535 | |
Haute-Normandie | 900 578 761 | 2 300 100 | 600 000 | 0 | 0 | 0 | 15 559 928 | 919 038 789 | |
Pays de la Loire | 1 702 955 184 | 2 936 450 | 1 400 000 | 800 000 | 0 | 0 | 482 170 | 1 708 573 804 | |
Picardie | 1 080 947 183 | 3 241 050 | 0 | 1 000 000 | 1 200 000 | 0 | 0 | 1 086 388 233 | |
Poitou-Charentes | 788 314 914 | 2 754 600 | 0 | 0 | 1 600 000 | 0 | 577 316 | 793 246 830 | |
Provence-Alpes-Côte d'Azur | 2 105 166 345 | 10 854 900 | 1 776 192 | 0 | 0 | 0 | 7 411 050 | 2 125 208 487 | |
Rhône-Alpes | 2 645 472 435 | 6 804 800 | 1 990 000 | 0 | 750 000 | 966 947 | 6 332 582 | 2 662 316 764 | |
Guadeloupe | 122 931 864 | 836 400 | 0 | 123 768 264 | |||||
Martinique | 105 522 757 | 313 650 | 0 | 105 836 407 | |||||
Guyane | 33 507 489 | 731 850 | 1 250 000 | 550 000 | 0 | 36 039 339 | |||
Réunion | 295 858 974 | 1 359 150 | 0 | 0 | 297 218 124 | ||||
Total | 31 226 680 801 | 115 004 500 | 30 727 620 | 10 036 000 | 9 922 637 | 1 589 050 | 14 148 165 | 202 929 703 | 31 611 038 476 |
Récapitulatif de la composition des bases 2000
Sous-enveloppe n° 3. - Médico-sociale/Personnes âgées
RÉGION/DOM | BASE d'entrée 2000 | APPORT reconduction | MESURES reconductions spécifiques publics | EXTENSION ANNÉE PLEINE des mesures nouvelles 1999 | FRAIS de siège UGECAM | ENVELOPPE 2000 | |
---|---|---|---|---|---|---|---|
SSIAD | SCM | ||||||
Alsace | 379 073 906 | 6 592 095 | 3 168 615 | 1 779 090 | 3 387 032 | 394 000 738 | |
Aquitaine | 888 639 342 | 15 453 438 | 8 380 181 | 4 390 335 | 7 165 952 | 430 380 | 924 459 628 |
Auvergne | 532 086 302 | 9 252 981 | 5 409 105 | 1 434 750 | 5 542 416 | 694 281 | 554 419 835 |
Bourgogne | 515 686 162 | 8 967 782 | 5 152 417 | 2 266 905 | 7 165 952 | 539 239 218 | |
Bretagne | 936 529 491 | 16 286 248 | 8 510 814 | 2 066 040 | 10 357 040 | 298 434 | 974 048 067 |
Centre | 781 736 700 | 13 594 401 | 8 724 910 | 2 898 195 | 10 524 992 | 512 555 | 817 991 753 |
Champagne-Ardenne | 358 842 062 | 6 240 263 | 4 112 987 | 803 460 | 1 959 440 | 371 958 212 | |
Corse | 38 200 331 | 664 304 | 0 | 286 950 | 2 323 336 | 41 474 921 | |
Franche-Comté | 273 690 607 | 4 759 480 | 2 526 984 | 946 935 | 4 282 776 | 286 206 782 | |
Ile-de-France | 1 698 482 053 | 29 536 603 | 16 629 096 | 9 239 790 | 41 288 200 | 1 795 175 742 | |
Languedoc-Roussillon | 612 101 546 | 10 644 446 | 5 876 399 | 2 525 160 | 8 817 480 | 639 965 031 | |
Limousin | 303 613 978 | 5 279 847 | 2 961 647 | 315 645 | 3 135 104 | 315 306 221 | |
Lorraine | 604 268 476 | 10 508 229 | 4 519 258 | 1 233 885 | 6 802 056 | 627 331 904 | |
Midi-Pyrénées | 792 873 761 | 13 788 075 | 7 108 465 | 1 979 955 | 15 115 680 | 830 865 936 | |
Nord-Pas-de-Calais | 742 112 584 | 12 905 338 | 5 484 894 | 2 582 550 | 8 481 576 | 1 188 261 | 772 755 203 |
Basse-Normandie | 357 019 408 | 6 208 568 | 3 292 943 | 889 545 | 5 514 424 | 372 924 888 | |
Haute-Normandie | 396 673 766 | 6 898 157 | 4 953 176 | 1 262 580 | 6 130 248 | 415 917 927 | |
Pays de la Loire | 946 178 096 | 16 454 037 | 8 612 839 | 2 926 890 | 10 245 072 | 984 416 934 | |
Picardie | 361 637 602 | 6 288 878 | 3 573 001 | 1 606 920 | 5 822 336 | 276 835 | 379 205 572 |
Poitou-Charentes | 432 132 854 | 7 514 790 | 4 707 769 | 746 070 | 4 254 784 | 449 356 267 | |
Provence-Alpes-Côte d'Azur | 885 246 371 | 15 394 434 | 5 887 565 | 7 403 310 | 5 850 328 | 919 782 008 | |
Rhône-Alpes | 1 438 885 690 | 25 022 222 | 12 397 674 | 5 739 000 | 17 746 928 | 1 499 791 514 | |
Guadeloupe | 45 277 792 | 787 381 | 0 | 286 950 | 1 287 632 | 47 639 755 | |
Martinique | 49 426 767 | 859 531 | 333 866 | 573 900 | 559 840 | 51 753 904 | |
Guyane | 8 608 446 | 149 701 | 0 | 286 950 | 279 920 | 9 325 017 | |
Réunion | 65 196 224 | 1 133 762 | 144 390 | 573 900 | 1 119 680 | 68 167 956 | |
Total | 14 444 220 318 | 251 184 991 | 132 468 995 | 57 045 660 | 195 160 224 | 3 400 746 | 15 083 480 933 |
Sous-enveloppe n° 4. - Médico-sociale/Handicap
RÉGION/DOM | BASE D'ENTRÉE 2000 | APPORT reconduction | MESURES reconductions spécifiques publics | FRAIS de siège UGECAM | EXTENSION ANNÉE PLEINE mesures nouvelles 1999 | ENVELOPPE 2000 | |||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
PPH | Autisme | CAMPS | SESSAD | ||||||
Alsace | 832 306 303 | 12 700 994 | 230 061 | 5 441 100 | 868 682 | 0 | 425 637 | 851 972 777 | |
Aquitaine | 1 712 535 598 | 26 133 293 | 556 702 | 3 204 616 | 4 268 300 | 1 642 795 | 0 | 1 200 000 | 1 749 541 304 |
Auvergne | 744 304 038 | 11 358 080 | 417 578 | 731 850 | 0 | 840 000 | 130 000 | 757 781 546 | |
Bourgogne | 721 470 279 | 11 009 636 | 236 328 | 686 645 | 1 150 050 | 940 900 | 0 | 1 027 500 | 736 521 338 |
Bretagne | 1 416 943 910 | 21 622 564 | 969 067 | 1 986 450 | 1 840 865 | 0 | 0 | 1 443 362 856 | |
Centre | 1 325 037 925 | 20 220 079 | 530 037 | 1 642 389 | 1 986 450 | 2 680 000 | 0 | 0 | 1 352 096 880 |
Champagne-Ardenne | 798 179 379 | 12 180 217 | 621 846 | 1 470 120 | 836 400 | 1 545 000 | 0 | 0 | 814 832 962 |
Corse | 107 817 080 | 1 645 289 | 64 622 | 209 100 | 0 | 0 | 0 | 109 736 091 | |
Franche-Comté | 791 588 199 | 12 079 636 | 402 459 | 1 891 640 | 1 359 150 | 232 500 | 1 236 000 | 0 | 808 789 584 |
Ile-de-France | 4 713 465 055 | 71 927 477 | 1 365 420 | 3 927 999 | 47 588 400 | 6 470 000 | 1 610 000 | 1 514 500 | 4 847 868 851 |
Languedoc-Roussillon | 1 392 674 820 | 21 252 218 | 153 719 | 1 816 139 | 1 254 600 | 3 115 000 | 0 | 0 | 1 420 266 496 |
Limousin | 599 079 289 | 9 141 950 | 396 074 | 209 100 | 0 | 0 | 0 | 608 826 413 | |
Lorraine | 1 233 869 004 | 18 828 841 | 926 436 | 520 000 | 2 300 100 | 1 440 096 | 550 000 | 0 | 1 258 434 477 |
Midi-Pyrénées | 2 109 837 930 | 32 196 127 | 564 943 | 2 509 200 | 1 330 000 | 1 000 000 | 0 | 2 147 438 200 | |
Nord-Pas-de-Calais | 2 172 051 093 | 33 145 500 | 1 119 433 | 2 438 002 | 10 309 450 | 1 670 001 | 750 000 | 1 525 000 | 2 223 008 479 |
Basse-Normandie | 1 082 243 535 | 16 515 036 | 434 422 | 1 269 028 | 731 850 | 0 | 1 000 000 | 0 | 1 102 193 871 |
Haute-Normandie | 919 038 789 | 14 024 532 | 822 783 | 565 212 | 2 300 100 | 600 000 | 0 | 0 | 937 351 416 |
Pays de la Loire | 1 708 573 804 | 26 072 836 | 1 254 997 | 338 792 | 2 936 450 | 1 400 000 | 800 000 | 0 | 1 741 376 879 |
Picardie | 1 086 388 233 | 16 578 284 | 668 167 | 694 865 | 3 241 050 | 0 | 1 000 000 | 1 200 000 | 1 109 770 599 |
Poitou-Charentes | 793 246 830 | 12 104 947 | 539 485 | 2 754 600 | 0 | 0 | 1 600 000 | 810 245 862 | |
Provence-Alpes-Côte d'Azur | 2 125 208 487 | 32 430 682 | 721 721 | 2 799 170 | 10 854 900 | 1 776 192 | 0 | 0 | 2 173 791 152 |
Rhône-Alpes | 2 662 316 764 | 40 626 954 | 927 688 | 1 623 155 | 6 804 800 | 1 990 000 | 0 | 750 000 | 2 715 039 361 |
Guadeloupe | 123 768 264 | 1 888 704 | 0 | 836 400 | 126 493 368 | ||||
Martinique | 105 836 407 | 1 615 064 | 26 014 | 313 650 | 1 250 000 | 550 000 | 109 591 135 | ||
Guyane | 36 039 339 | 549 960 | 0 | 731 850 | 37 321 149 | ||||
Réunion | 297 218 124 | 4 535 549 | 0 | 1 359 150 | 303 112 823 | ||||
Total | 31 611 038 476 | 482 384 449 | 13 950 002 | 24 887 772 | 115 004 500 | 29 542 031 | 10 036 000 | 9 922 637 | 32 296 765 867 |
Notification des enveloppes médico-sociales 2000
RÉGION/DOM | SOUS-ENVELOPPE N° 3 Personnes âgées Enveloppe reconductible 2000 | SOUS-ENVELOPPE N° 4 Handicap Enveloppe reconductible 2000 | MESURE Emplois-jeunes Non reconductible |
---|---|---|---|
Alsace | 394 000 738 | 851 972 777 | 206 888 |
Aquitaine | 924 459 628 | 1 749 541 304 | 461 179 |
Auvergne | 554 419 835 | 757 781 546 | 219 755 |
Bourgogne | 539 239 218 | 736 521 338 | 218 712 |
Bretagne | 974 048 067 | 1 443 362 856 | 375 724 |
Centre | 817 991 753 | 1 352 096 880 | 387 141 |
Champagne-Ardennes | 371 958 212 | 814 832 962 | 205 497 |
Corse | 41 474 921 | 109 736 091 | 26 264 |
Franche-Comté | 286 206 782 | 808 789 584 | 189 199 |
Ile-de-France | 1 795 175 742 | 4 847 868 851 | 1 107 179 |
Languedoc-Roussillon | 639 965 031 | 1 420 266 496 | 339 890 |
Limousin | 315 306 221 | 608 826 413 | 164 082 |
Lorraine | 627 331 904 | 1 258 434 477 | 305 353 |
Midi-Pyrénées | 830 865 936 | 2 147 438 200 | 512 608 |
Nord-Pas-de-Calais | 772 755 203 | 2 223 008 479 | 492 864 |
Basse-Normandie | 372 924 888 | 1 102 193 871 | 250 123 |
Haute-Normandie | 415 917 927 | 937 351 416 | 229 528 |
Pays de la Loire | 984 416 934 | 1 741 376 879 | 446 965 |
Picardie | 379 205 572 | 1 109 770 599 | 250 854 |
Poitou-Charentes | 449 356 267 | 810 245 862 | 219 844 |
Provence-Alpes-Côte d'Azur | 919 782 008 | 2 173 791 152 | 531 691 |
Rhône-Alpes | 1 499 791 514 | 2 715 039 361 | 735 864 |
Guadeloupe | 47 639 755 | 126 493 368 | 24 849 |
Martinique | 51 753 904 | 109 591 135 | 27 257 |
Guyane | 9 325 017 | 37 321 149 | 6 848 |
Réunion | 68 167 956 | 303 112 823 | 63 842 |
Total | 15 083 480 933 | 32 296 765 867 | 8 000 000 |
Notification préparatoire de dotations au sens de Géode
SSIAD. - Rappel de la gestion 1999
RÉGION/DOM | DOTATIONS issues des informations des DDASS | MESURE 1999 Aides-soignantes | MESURES salariales 1999 Secteur public | MARGE RTT 1999 | MESURES nouvelles notifiées en novembre et décembre 1999 | TOTAL DOTATION 1999 |
---|---|---|---|---|---|---|
Alsace | 80 046 527 | 81 391 | 224 378 | 179 948 | 962 643 | 81 494 886 |
Aquitaine | 155 055 896 | 237 101 | 969 538 | 375 843 | 875 130 | 157 513 508 |
Auvergne | 100 109 455 | 217 519 | 595 810 | 206 505 | 466 736 | 101 596 025 |
Bourgogne | 102 337 881 | 148 668 | 274 720 | 181 195 | 1 050 156 | 103 992 619 |
Bretagne | 259 272 135 | 124 382 | 432 138 | 371 365 | 145 855 | 260 345 876 |
Centre | 45 468 334 | 158 186 | 811 506 | 238 816 | 291 710 | 46 968 552 |
Champagne-Ardenne | 89 999 966 | 129 317 | 405 836 | 108 266 | 0 | 90 643 385 |
Corse | 0 | 0 | 0 | 36 445 | 0 | 36 445 |
Franche-Comté | 73 332 938 | 92 690 | 174 698 | 111 682 | 291 710 | 74 003 718 |
Ile-de-France | 488 989 680 | 368 809 | 1 604 162 | 649 399 | 1 896 115 | 493 508 165 |
Languedoc-Roussillon | 132 584 838 | 205 402 | 795 600 | 252 076 | 525 078 | 134 362 994 |
Limousin | 94 150 186 | 108 382 | 394 287 | 129 208 | 0 | 94 782 064 |
Lorraine | 126 952 453 | 241 383 | 405 738 | 331 058 | 0 | 127 930 632 |
Midi-Pyrénées | 234 519 504 | 272-798 | 714 145 | 362 550 | 0 | 235 868 997 |
Nord-Pas-de-Calais | 335 340 302 | 89 738 | 448 887 | 385 962 | 1 020 985 | 337 285 874 |
Basse-Normandie | 95 904 279 | 31 989 | 220 519 | 149 674 | 0 | 96 306 461 |
Haute-Normandie | 74 157 037 | 147 129 | 609 930 | 96 121 | 291 710 | 75 301 928 |
Pays de la Loire | 200 207 283 | 116 653 | 544 816 | 399 235 | 933 472 | 202 201 458 |
Picardie | 110 253 611 | 62 828 | 307 221 | 141 608 | 670 933 | 111 436 201 |
Poitou-Charentes | 24 843 266 | 129 367 | 309 049 | 135 920 | 0 | 25 417 602 |
Provence-Alpes-Côte d'Azur | 183 623 935 | 203 800 | 701 168 | 531 299 | 0 | 185 060 202 |
Rhône-Alpes | 304 596 412 | 263 536 | 1 256 442 | 662 866 | 1 896 115 | 308 675 371 |
Guadeloupe | 32 139 147 | 0 | 0 | 45 925 | 0 | 32 185 072 |
Martinique | 0 | 0 | 0 | 26 648 | 0 | 26 648 |
Guyane | 6 270 756 | 0 | 0 | 8 446 | 0 | 6 279 201 |
Réunion | 13 260 822 | 0 | 0 | 54 102 | 0 | 13 314 924 |
Total | 3 363 416 643 | 3 431 067 | 12 200 588 | 6 172 160 | 11 318 348 | 3 396 538 806 |
Renseignements incomplets pour le niveau géographique (données non transmises au 15 décembre 1999.) |
Notification préparatoire de dotations au sens de Géode
SSIAD. - Rappel de la gestion 1999
RÉGION DOM | DOTATIONS issus des informations des DDASS | MESURE 1999 Aides-soignantes | MESURES salariales 1999 Secteur public | MARGE RTT 1999 | MESURES nouvelles notifiées en novembre et décembre 1999 | TOTAL DOTATION 1999 |
---|---|---|---|---|---|---|
Alsace | 291 1182 846 | 1 152 460 | 2 569 401 | 334 1189 | 0 | 295 238 896 |
Aquitaine | 422 676 216 | 2 057 121 | 5 945 564 | 697 993 | 910 592 | 432 287 487 |
Auvergne | 408 105 409 | 1 380 443 | 4 242 195 | 383 509 | 1 479 712 | 415 591 267 |
Bourgogne | 319 712 731 | 2 145 616 | 4 372 330 | 336 504 | 711 400 | 327 278 582 |
Bretagne | 656 915 975 | 2 490 424 | 7 432 053 | 689 679 | 199 192 | 667 727 323 |
Centre | 280 441 616 | 2 413 757 | 6 100 898 | 443 516 | 1 707 360 | 291 107 147 |
Champagne-Ardenne | 263 403 347 | 1 269 013 | 2 948 834 | 201 065 | 341 472 | 268 163 730 |
Corse | 0 | 0 | 0 | 67 684 | 0 | 67 684 |
Franche-Comté | 195 756 488 | 735 785 | 1 880 647 | 207 410 | 626 032 | 199 206 362 |
Ile-de-France | 1 170 712 886 | 3 820 236 | 13 642 492 | 1 206 026 | 2 134 200 | 1 191 515 840 |
Languedoc-Roussillon | 385 943 290 | 1 490 624 | 4 610 201 | 468 142 | 455 296 | 392 967 552 |
Limousin | 207 209 750 | 820 236 | 1 996 160 | 239 958 | 0 | 210 266 105 |
Lorraine | 391 845 686 | 1 493 978 | 3 178 412 | 614 823 | 0 | 397 132 899 |
Midi-Pyrénées | 547 268 938 | 2 033 192 | 4 545 425 | 673 306 | 768 312 | 555 289 173 |
Nord-Pas-de-Calais | 799 341 011 | 1 224 727 | 3 683 523 | 716 786 | 569 120 | 805 535 168 |
Basse-Normandie | 257 042 289 | 1 143 617 | 2 124 100 | 277 965 | 199 192 | 260 787 162 |
Haute-Normandie | 247 651 402 | 763 600 | 3 583 773 | 178 511 | 569 120 | 252 746 406 |
Pays de la Loire | 623 166 084 | 1 827 751 | 7 153 795 | 741 436 | 0 | 632 889 065 |
Picardie | 246 378 757 | 850 580 | 2 644 369 | 262 985 | 142 280 | 250 278 971 |
Poitou-Charentes | 84 092 751 | 1 302 036 | 3 113 654 | 252 423 | 455 2296 | 89 216 160 |
Provence-Alpes-Côte d'Azur | 425 666 963 | 1 912 130 | 4 469 991 | 986 699 | 682 944 | 433 7118 727 |
Rhône-Alpes | 1 112 143 642 | 3 095 843 | 10 633 441 | 1 2231 037 | 1 991 920 | 1 129 095 882 |
Guadeloupe | 11 332 562 | 0 | 0 | 85 288 | 853 680 | 12 271 530 |
Martinique | 0 | 176 212 | 385 687 | 49 490 | 0 | 611 389 |
Guyane | 2 336 099 | 0 | 0 | 15 685 | 0 | 2 351 784 |
Réunion | 80 117 108 | 253 743 | 170 719 | 100 475 | 0 | 80 642 045 |
Total | 9 430 443 845 | 35 853 125 | 101 427 665 | 11 462 583 | 114 797 120 | 9 593 984 337 |
Renseignements incomplet pour le niveau géographique (données non transmises au 15 décembre 1999.) |
Notification préparatoire de dotations au sens de Géode
Personnes handicapées. - Rappel de la gestion 1999
RÉGION DOM | DOTATIONS issus des informations des DDASS | MESURE 1999 Aides-soignantes | MESURES salariales 1999 Secteur public | MARGE RTT 1999 | TOTAL DOTATION 1999 |
---|---|---|---|---|---|
Alsace | 792 127 430 | 138 901 | 572 327 | 2 303 278 | 795 141 936 |
Aquitaine | 1 597 759 963 | 70 300 | 1 178 178 | 4 708 122 | 1 603 716 563 |
Auvergne | 458 248 063 | 71 922 | 944 542 | 1 893 747 | 461 158 274 |
Bourgogne | 673 942 642 | 54 027 | 680 104 | 1 981 046 | 676 657 819 |
Bretagne | 1 328 732 969 | 207 809 | 2 128 208 | 3 383 300 | 1 334 452 286 |
Centre | 1 001 731 111 | 153 941 | 1 234 285 | 3 577 254 | 1 006 696 591 |
Champagne-Ardenne | 743 605 494 | 94 446 | 1 325 933 | 1 940 920 | 746 966 793 |
Corse | 0 | 0 | 114 917 | 278 462 | 393 379 |
Franche-Comté | 738 260 556 | 110 223 | 1 146 108 | 2 085 364 | 741 602 251 |
Ile-de-France | 4 590 104 283 | 231 632 | 2 883 026 | 12 784 304 | 4 606 003 245 |
Languedoc-Roussillon | 1 313 693 678 | 17 744 | 342 557 | 3 892 711 | 1 317 946 690 |
Limousin | 535 632 485 | 70 800 | 1 484 802 | 1 518 450 | 538 706 537 |
Lorraine | 1 150 974 385 | 212 807 | 2 390 173 | 3 024 701 | 1 156 602 067 |
Midi-Pyrénées | 2 019 153 518 | 144 820 | 1 451 434 | 5 822 739 | 2 026 572 511 |
Nord-Pas-de-Calais | 2 078 476 255 | 330 606 | 2 581 221 | 5 678 306 | 2 087 066 388 |
Basse-Normandie | 1 020 391 678 | 113 451 | 946 746 | 2 934 715 | 1 024 386 590 |
Haute-Normandie | 880 692 084 | 43 100 | 1 608 134 | 2 122 206 | 884 465 524 |
Pays de la Loire | 1 686 328 276 | 428 996 | 3 319 975 | 4 219 012 | 1 694 296 258 |
Picardie | 1 002 740 404 | 125 042 | 1 484 860 | 2 769 047 | 1 007 119 3353 |
Poitou-Charentes | 741 584 884 | 101 733 | 1 247 893 | 1 974 605 | 744 909 115 |
Provence-Alpes-Côte d'Azur | 1 959 326 226 | 83 298 | 1 648 358 | 5 800 837 | 1 966 858 719 |
Rhône-Alpes | 2 513 108 644 | 240 815 | 2 478 890 | 7 271 925 | 2 523 100 274 |
Guadeloupe | 122 031 150 | 0 | 369 937 | 122 401 087 | |
Martinique | 108 203 632 | 63 208 | 299 237 | 108 566 077 | |
Guyane | 35 520 305 | 0 | 100 834 | 35 621 139 | |
Réunion | 325 897 655 | 0 | 882 199 | 326 779 321 | |
Total | 29 418 267 771 | 3 046 413 | 33 255 879 | 83 617 258 | 29 538 187 321 |
Renseignements incomplet pour le niveau géographique (données non transmises au 15 décembre 1999.) |
ANNEXE II-d
Région :
Département :
BUDGETS PRIMITIFS 2000 AUX NORMES GÉODE
Sous-enveloppe n° 3. - Personnes âgées, SSIAD
N° FINESS | LISTE des établissements composant la SE n° 3, SSIAD | DÉPENSES (CLASSE 6 BRUTE) | RECETTE | ||||
---|---|---|---|---|---|---|---|
Dépenses de personnels | Autres charges d'exploitation | Amortissements provisions charges fin. et except. | De la tarification = ONDAM | Forfait journalier et autres participationsRecettes en atténuation et autres recettes |
ANNEXE II-d
Région :
Département :
BUDGETS PRIMITIFS 2000 AUX NORMES GEODE
Sous-enveloppe n° 3. - Personnes âgées, SC/SCM
N° FINESS | LISTE des établissements composant la SE n° 3, SC/SCM | DÉPENSES (CLASSE 6 BRUTE) | RECETTE | ||||
---|---|---|---|---|---|---|---|
Dépenses de personnels | Autres charges d'exploitation | Amortissements provisions charges fin. et except. | De la tarification = ONDAM | Forfait journalier et autres participationsRecettes en atténuation et autres recettes |
Budgets primitifs 2000 aux normes Géode
Sous-enveloppe n° 4. - Médico-sociale/handicap
N° FINESS | LISTE des établissements composant la SE N° 4 | DÉPENSES (CLASSE 6 BRUTE)RECETTE ACTIVITÉ Dépenses de personnels Autres charges d'exploitation Amortis. provisions charges fin. et except. Déficit incorporé de l'année 1998 de la tarification = ONDAM Forfait journalier et autres participations Recettes en atténuation et autres recettes Excédent incorporé de l'année 1998 Nombre de journées Séances | |||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Internat | 1/2 pensionExternat |
Réserve de financements pour établissements en instance d'ouverture
Dotation personnes âgées - SSIAD
Le total des annexes 2-d-SSIAD + le total non utilisé ci-après est égal au total de l'enveloppe personnes âgées - SSIAD, en ONDAM
DÉPARTEMENT | NOM de l'établissement * | CODE catégorie FINESS | CLASSE 6 BRUTE PRÉVUE | PRÉVISION DE CRÉDITS ONDAM EN 2000 | DATE D'OUVERTURE PRÉVUE * ** (début consom. sur ONDAM) | ||
---|---|---|---|---|---|---|---|
Part utilisée en non reconductible | Part non utilisée | Part utilisée en non reconductible | Part non utilisée | ||||
Solde non encore affecté | |||||||
Total général | |||||||
* Classement par ordre croissant d'année d'ouverture : 2000, 2001 et plus. ** Solde non encore affecté à des projets finalisés. |
Réserve de financements pour établissements en instance d'ouverture
Dotation personnes âgées - SC/CM
Le total des annexes 2-d-SC/SCM + le total non utilisé ci-après est égal au total de l'enveloppe personnes âgées - SC/S/C/M, en ONDAM
DÉPARTEMENT | NOM de l'établissement * | CODE catégorie FINESS | BUDGET SOINS PRÉVU | PRÉVISION DE CRÉDITS ONDAM EN 2000 | DATE D'OUVERTURE PRÉVUE * ** (début consom. sur ONDAM) | ||
---|---|---|---|---|---|---|---|
Part utilisée en non reconductible | Part non utilisée | Part utilisée en non reconductible | Part non utilisée | ||||
Solde non encore afecté | |||||||
Total général | |||||||
* Classement par ordre croissant d'année d'ouverture : 2000, 2001 et plus. ** Solde non encore affecté à des projets finalisés. |
Réserve de financements pour établissements en instance d'ouverture
Dotation personnes handicapées
Le total des annexes 2-d-PH + le total non utilisé ci-après est égal au total de l'enveloppe personnes handicapées, en ONDAM
DÉPARTEMENT | NOM de l'établissement * | CODE catégorie FINESS | CLASSE 6 BRUTE PRÉVUE | PRÉVISION DE CRÉDITS ONDAM EN 2000 | DATE D'OUVERTURE PRÉVUE * ** (début consom. sur ONDAM) | ||
---|---|---|---|---|---|---|---|
Part utilisée en non reconductible | Part non utilisée | Part utilisée en non reconductible | Part non utilisée | ||||
Solde non encore affecté | |||||||
Total général | |||||||
* Classement par ordre croissant d'année d'ouverture : 2000, 2001 et plus. ** Solde non encore affecté à des projets finalisés. |
Fiche de suivi des opérations de transferts entre champs sanitaire et médico-social
OPÉRATION | SANITAIRE VERS MEDICO-SOCIAL | MÉDICO-SOCIAL VERS SANITAIRE | DATE D'EFFET du transfert | ||
---|---|---|---|---|---|
Champs d'origine et montant des crédits (sanitaire, longs séjours) | Champs de destination et montant des crédits (PH, SSIAD et SC/SCM) | Champs d'origine et montantdes crédits (PH, SSIAD et SC/SCM)Champs de destination et montant des crédits (sanitaire, longs séjours) |
ANNEXE III
LE FINANCEMENT DE LA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL
DANS LES ÉTABLISSEMENTS PRIVÉS MÉDICO-SOCIAUX
1. Les différentes situations juridiques des établissements
1.1. Les établissements qui ont négocié
un accord soumis à l'agrément ministériel
Les accords collectifs nationaux (UNIFED, CC de 1951, CC de 1966, Croix-Rouge, CC de 1965) agréés, ont posé chacun pour sa part, les principes généraux de mise en oeuvre de la loi. Ils appellent la négociation d'accords d'établissements pour moduler selon les situations particulières, l'ampleur de la réduction du temps de travail des personnels en place et le niveau des embauches, en fonction de la nouvelle organisation du travail qui aura été définie.
Ils déterminent aussi la nature et les modalités de la modération salariale appelée à compléter les aides incitatives, et donc à assurer le financement de la RTT :
La traduction au budget 2000 de ces choix aboutit à une moindre dépense de personnel : allégement de charges au titre des aides incitatives, gel des augmentations générales des traitements, gel des majorations familiales, gel éventuel de l'ancienneté : les autorités de tarification devront donc estimer d'abord cette dépense réelle minorée de personnel, puis en complément le montant des diminutions et gels de coûts, pour fixer un tarif au niveau de la dépense qu'il aurait fallu prendre en considération si les allégements de charges et les gels salariaux n'avaient pas eu lieu.
Puis au moment du compte administratif, le produit réel des allégements de charges et des efforts salariaux ne devra pas être considéré comme un élément d'excédent financier dont la reprise se fera par le tarif de l'année N+2.
De ce fait, pour capitaliser effectivement ces sommes, leur affectation sur un compte de bilan sera nécessaire avant de déterminer le résultat financier de l'exercice. De ce point de vue, le compte de bilan 198 « fonds dédiés RTT » est conseillé. La vérification annuelle de son évolution par les autorités de tarification est sur ce point indispensable.
NB. Sur l'année 2000, 2001 et souvent 2002, les dépenses nouvelles générées par l'engagement de nouveaux personnels seront inférieures aux « recettes de la RTT » c'est-à-dire les moindres dépenses ci-dessus. Par contre, dès l'an 2003 au plus tard, du fait de la dégressivité des aides incitatives, les coûts de ces nouvelles embauches seront supérieurs. Si les « recettes de la RTT » accumulées au cours des exercices financiers initiaux ont bien été évaluées et capitalisées, ils absorberont la montée ultérieure des coûts réels, et il n'y aura pas lieu de majorer à ce moment les tarifs pour ce motif.
Ainsi sur une échéance de cinq ans, la réduction du temps de travail n'aura pas généré de coût supérieur à la progression qui aurait été constatée si les masses salariales avaient évolué au même rythme que celui des établissements publics. En contrepartie, le temps de travail aura été réduit, des embauches auront lieu, le fonctionnement des établissements aura été repensé collectivement à l'issue d'un dialogue tenant compte des spécificités des structures. En outre, durant les cinq années imparties pour que se réalise l'équilibre financier négocié et accepté par les pouvoirs publics, les prix des établissements progresseront de manière mesurée et régulière, sans effet de « dent de scie ».
1.2. Les établissements qui ont négocié, mais dont l'accord n'a pas encore donné lieu à décision définitive d'agrément ou de refus, ne peuvent mettre immédiatement en oeuvre leur accord de RTT, mais leur situation est traitée à titre prioritaire par la Commission nationale d'agrément.
1.3 Les établissements qui n'ont pas conclu d'accord seront incités à le faire : en effet la loi du 19 janvier 2000 relative à la réduction négociée du temps de travail soutient la signature d'accords de mise en oeuvre de la RTT par un dispositif d'abattement permanent de charges sociales (APCS) dont le montant varie selon la pyramide des salaires dans chaque établissement.
Il sera d'ailleurs rappelé que la négociation qui s'ensuivra devra bien entendu porter sur la réduction du temps de travail, la réorganisation du fonctionnement, mais aussi sur l'annualisation souvent utile de ce temps de travail : en effet, l'accord de branche UNIFED étendu a ouvert la possibilité d'annualiser le temps de travail, après avoir engagé une négociation, même si celle-ci n'a pas débouché. Après le premier janvier 2000, l'application de cette disposition devra se lire en fonction du texte de la loi de 1999.
2. Les différents niveaux de l'effort salarial sur les augmentations
générales de salaires, selon les conventions collectives
Chaque convention collective a évalué selon son contexte, le niveau de la modération salariale correspondant au gel des progressions générales de rémunérations. Ainsi :
Il incombait par la suite à chaque accord d'établissement de prévoir l'incidence de ce gel, puis de mobiliser les autres gels salariaux (d'ancienneté ou de majoration familiales notamment) pour aboutir à un équilibre prévisionnel fondé sur ses propres contraintes.
Il n'est bien évidemment pas envisageable que le calendrier d'allocation des moyens nationaux s'adapte à chaque situation particulière, nationale ou locale. Les dotations sont par contre dégagées au rythme de la progression des rémunérations constatée pour le secteur public telle qu'intégrée dans l'Ondam ou dans la loi de finances de l'Etat, ce qui constituait la condition acceptée de l'agrément ministériel.
3. Les moyens dégagés par la loi de financement
de la sécurité sociale 2000
Les dotations de reconduction notifiées en annexe 1 comprennent une progression estimée des masses salariales qui permettra aux services de tarification d'assurer l'équilibre financier pluriannuel malgré la diversité constatée ci-dessus. Cette augmentation correspond à la transposition du coût des mesures générales accordées aux établissements du secteur public, c'est-à-dire, en pourcentage d'augmentation des masses salariales et selon la nature des établissements :
Ces niveaux pris en compte pour le calcul des enveloppes régionales devront être ajustés selon les budgets des établissements pour correspondre à leurs choix de modération salariale inscrits dans leur accord et convention collective, et distribués dans les conditions ci-dessous.
a) Les établissements dont l'accord d'établissement ou d'entreprise a reçu l'agrément ministériel bénéficient de l'intégralité des mesures salariales ; pour les établissements ayant signé un accord en instance d'agrément, ces mesures seront inscrites à titre provisionnel au budget 2000 et confirmées en cas d'agrément.
b) En cas de refus de l'accord, cette provision pourra être réaffectée selon la méthode développée en c).
c) Les établissements qui n'ont pas encore négocié seront invités à mesurer très vite l'incidence financière d'un accord au titre de la loi RTT de 1999 et l'incidence financière de leur inaction. L'effet d'une annualisation sera également estimé à ce moment. Cette réflexion s'étendra alors aux impacts sur le fonctionnement global des structures et la qualité des prestations fournies aux usagers qui doit en toute priorité être préservée.
C'est en fonction de cette estimation que les services de tarification seront fondés à allouer les montants utiles de crédits.
ANNEXE IV
Département :
Personne chargée du dossier :
Téléphone :
fiche de suivi financier des contentieux pour les établissements médico-sociaux
Exercice budgétaire concerné | Montant total du contentieux | Montant restant dû au 01-01-2000 | Exercice budgétaire concerné | Montant demandé par l'association gestionnaire (1) | |||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Date des décisions de justice | Etat de la procédure | ||||||||
En première instance | En appel | En première instance | En appel | ||||||
Total | |||||||||
(1) Les services doivent veiller à éviter un double paiement des contentieux : si le montant du litige a été financé totalement par la reprise des résultats dans l'année N + 2, soit directement par les caisses d'assurance maladie, il n'a pas lieu d'être ensuite repayé et ne doit donc pas figurer dans la colonne « Montant restant dû ». |