Qualité des soins et pratiques

La sécurité des soins est une exigence croissante et légitime de tous les usagers de la santé et pour tous les patients. Lutte contre les infections associées aux soins, amélioration de la prise en charge médicamenteuse, généralisation d’indicateurs de qualité et de sécurité des soins dans les établissements de santé sont des avancées qui ont permis à chaque patient au droit d’une prise en charge de qualité assurée par des professionnels sensibilisés à la prévention des événements indésirables.


Évaluer des pratiques de santé pour offrir des soins de qualité

C’est pour aller plus loin encore dans son action que la DGOS (Direction générale de l’offre de soins), en étroite collaboration avec la haute autorité de santé (HAS), a actualisé et renforcé sa politique d’indicateurs.
Lire la suite…

Par ailleurs, l’indicateur de mesure de la satisfaction des patients hospitalisés a été généralisé et les résultats établissement par établissement ont été diffusés dès 2015. D’ores et déjà, la DGOS à réfléchit au déploiement de nouveaux indicateurs sur l’hygiène des mains pour étudier l’observance des professionnels et sur les bactériémies nosocomiales à SARM pour maitriser la propagation des microbes – notamment les bactéries multi-résistantes.
Pour en savoir plus….


Des actions de prévention engagées au niveau national

Afin d’améliorer la communication entre soignants et soignés l’ensemble des résultats nationaux des indicateurs a été restitué dans le cadre de la 4ème édition de la semaine de la sécurité des patients (SSP). Avec la « mission mains propres » (MMP), ces 2 opérations fédératrices, organisées chaque année par la DGOS, sont maintenant bien connues des professionnels qui s’y engagent de plus en plus activement– 2 400 structures inscrites pour la SSP et 2 600 pour la MMP.
Pour en savoir plus…

 

  • PROPIAS - Prévenir les infections associées aux soins : une action nationale renforçant la sécurité du patient et sa prise en charge .

Dans le domaine de la qualité et de la sécurité des soins, la coordination et la transversalité deviennent une réalité. La pratique du retour d’expérience et celle de la simulation en santé, l’une et l’autre ciblées par le programme national pour la sécurité des patients (PNSP-2013), contribuent efficacement à accompagner les acteurs de santé dans ces nouvelles pratiques. Depuis 2015, le nouveau programme national d’actions de prévention des infections associées aux soins (PROPIAS) cible 3 objectifs : la prévention des infections tout au long du parcours de santé, la maîtrise de l’antibiorésistance dans l’ensemble des secteurs et la réduction des risques infectieux associés aux actes invasifs.
Pour en savoir plus….

 

  • IFAQ - L’incitation financière auprès des établissements de santé : un programme motivant l’amélioration de la prise en charge des patients.

Le contexte actuel de fort développement des indicateurs de qualité a permis de créer un environnement favorable pour la mise en place d’un système de paiement à la performance. Un tel système encourage, en effet, les efforts fournis par les établissements de santé et impacte donc positivement la qualité de la prise en charge de leurs patients. La DGOS a donc tenu à ce qu’un nouveau levier d’ordre financier puisse être mobilisé pour renforcer la politique d’amélioration de la qualité : IFAQ .
Pour en savoir plus…

 

  • La prise en charge adéquate aux besoins du patient : un objectif prioritaire chargé d’améliorer la qualité des soins.

Prescriptions inutiles de médicaments, admissions en soins de suite et de réadaptation (SSR) non justifiés, hospitalisations inadéquates par rapport à un autre type de prise en charge…les Français sont soignés de manière parfois très différente selon leur lieu de résidence. Ces pratiques non justifiées par le besoin des patients et ces variations de pratiques médicales posent un problème de nature éthique, thérapeutique et économique.
Dans le cadre des travaux menés sur l’amélioration de la pertinence des soins, un groupe technique composé de la HAS, de l’ATIH et de la caisse nationale d’assurance maladie (CNAMTS), et de l’institut de recherche et de documentation en économie de la santé (IRDES) a élaboré un document national sur les variations de pratiques médicales donnant des clés de compréhension autour de 10 interventions chirurgicales prioritaires.
Pour en savoir plus…

 

« Améliorer la sécurité des patients et des résidents » : la 1ère feuille (...)

A l’occasion de la 13ème édition de la semaine de sécurité des patients qui avait pour thématique « Faire (...)

Laboratoires de biologie médicale de référence

Un laboratoire de biologie médicale de référence (LBMR) est un laboratoire de biologie médicale de recours (...)

Événements indésirables graves associés aux soins en établissement de santé

Les événements indésirables graves associés aux soins (EIGS) constituent un thème de préoccupation majeur (...)

La pertinence en région (PAPRAPS)

Le ministère chargé de la santé coordonne le réseau des référents pertinence des ARS. Ce réseau permet de (...)

L’atlas des variations des pratiques

Co-édité par le ministère chargé de la santé, l’Agence technique de l’information sur l’hospitalisation (...)

Santé bucco-dentaire : les indispensables d’une bonne prise en charge

Vous avez besoin de soins dentaires et vous vous posez des questions sur l’offre proposée, sur le praticien (...)

Soins

Injections et autres pratiques perforant la peau

Le recours à des pratiques à visée esthétique telles que le gonflement des lèvres et le comblement des (...)

Pourriez-vous expliciter la définition de l’expertise post-analytique (...)

Le biologiste peut estimer nécessaire d’interpréter un examen en prenant en compte ou le cas échéant, en (...)

Certains examens cités nommément ne figurent pas forcément dans les lignes (...)

La déclaration est fonction de l’activité de chaque laboratoire. Un ER peut figurer dans une autre ligne de (...)

Lorsqu’un LBM soustraite des examens, que doit-il remplir ?

Un LBM ne peut prendre comme ER un examen sous-traité dans un autre LBM.

Critère 6 : Pourriez-vous citer un exemple correspondant à la définition « (...)

Le critère 6 n’est pas une définition. La ligne de portée BBO1 est un exemple illustrant l’application de (...)

Critère 5 : « Un examen réalisé par un laboratoire multi-sites ne peut (...)

Si les mêmes automates sont utilisés sur tous les sites, la validation de méthode et les procédures sont (...)

Ligne BM BB01 : Le découpage par technique ne correspondant pas au (...)

Un système de détection est un ensemble dispositif de détection/réactifs qui permet de générer, détecter et (...)

Ligne BM BB01 : Qu’entend-on par « petits automates » ?

Le qualificatif « petit automate » est associé à « méthodes manuelle » et concerne donc les automates non (...)

Ligne BM CB02 : Si les tests globaux sont déjà accrédités, il reste les (...)

Il est nécessaire de répondre aux critères généraux et spécifiques de chaque ligne de portée concernée. (...)

Au cours des audits, les dossiers de validation de méthode des examens de (...)

– Les dossiers de validation de méthode ne peuvent être vérifiés que pour les examens présentés à (...)

Les auditeurs peuvent-ils évaluer les dossiers de validation et (...)

– Les auditeurs ne peuvent pas vérifier l’application des dispositions du laboratoire sur des examens non (...)

Ligne BM CB02 : Ces DDI sont dosés sur Vidas : l’accréditation d’un (...)

Les ER dépendent de chaque sous domaines comme indiqués dans les critères 1, 2 et 3.

Ligne BM BB01 : Si un LBM utilise en biochimie des techniques (...)

S’il s’agit d’un examen de biochimie, il doit être considéré en BB01. Les examens immuno-turbidimétriques sont

Pour accréditer une ligne de portée en biologie délocalisée, faut-il être (...)

Pour des automates identiques, à condition que la gestion de la démarche qualité soit identique, de pouvoir (...)

Si un automate initialement prévu pour de la biologie délocalisée est (...)

Un automate prévu initialement en biologie délocalisée puis utilisé au laboratoire ne fait plus partie du (...)

Dans le cadre de la biologie délocalisée, quand est-il pour un examen (...)

En cas de changement d’utilisation (examen de biologie médicale délocalisée devenu laboratoire), oui il (...)

L’article 34 de l’arrêté du 1er juin 2021 signifie-t-il qu’au-delà de la (...)

Après la date du 1er novembre 2021, les laboratoires ne pourront plus pratiquer les examens appartenant à (...)

Procédure d’accréditation des laboratoires de biologie médicale

L’article 23 de loi du 17 juin 2020 relative à diverses dispositions liées à la crise sanitaire, à d’autres (...)

Foire aux questions sur les accréditations des Laboratoires de Biologie (...)

Dans quelles conditions le LBM est considéré comme accrédité pour ouvrir (...)

Le LBM sera considéré comme accrédité par les pouvoirs publics, au sens de l’article L. 6221-1 du code de (...)

Quel est le rôle de l’évaluateur technique du Cofrac quant au choix par le (...)

L’évaluateur technique du Cofrac ne se prononcera pas sur le caractère représentatif ou non des examens (...)

Le LBM décide-t-il du choix des examens de la ligne de portée à déposer au (...)

Il revient aux LBM de choisir les examens qu’ils souhaitent présenter à l’accréditation en lien avec les (...)